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Alkarama a informé le Groupe de travail des Nations Unies sur les disparitions forcées ou involontaires (WGEID) de la réapparition de plusieurs victimes de disparition forcée en Libye, dont les cas avaient été précédemment soumis par Alkarama. Ces victimes ont récemment été libérées par les autorités gouvernementales de plusieurs prisons secrètes auparavant contrôlées par des milices armées. 

Le 6 mai 2025, Alkarama a soumis au Groupe de travail des Nations Unies sur les disparitions forcées (GTDF) le cas de Wael Mansour Abdeljawad Al Malki, un jeune lycéen libyen disparu à Benghazi depuis plus de dix ans. 

Le 7 avril 2025, Alkarama a soumis son rapport au Conseil des droits de l’homme des Nations Unies dans le cadre du 4e cycle de l’Examen Périodique Universel (EPU) de la Libye

Alkarama a confirmé la libération du membre du parlement libyen de Tarhuna, Hassan Salem (également connu sous le nom de Hassan al-Farjani Salem Jaballah) et de son frère Mohamed, suite à une décision du Président du Conseil présidentiel, Mohamed al-Menfi. Les deux frères restent sous surveillance. 

La famille des deux frères a exprimé sa gratitude envers Alkarama pour son attention portée à l'affaire, à travers son engagement avec les procédures de l'ONU et la couverture médiatique du dossier. 

Le 19 mars 2025, Al Shahed - Libertés publiques et droits de l’homme et l’Organisation libyenne pour la vérité et la justice ont lancé en collaboration avec Alkarama un appel conjoint aux comités des Nations Unies pour qu’ils reprennent leurs examens respectifs sur la situation des droits de l’homme en Libye. 

Le 18 février 2025, Alkarama s'est adressée au Groupe de travail de l'ONU sur la détention arbitraire concernant le cas de cinq Syriens arbitrairement détenus depuis leur arrestation le 11 décembre 2024 par les forces de sécurité intérieure de Benghazi. 

Dans une lettre adressée à la Mission permanente italienne auprès des Nations Unies à Genève, Alkarama a fermement condamné les autorités italiennes pour avoir permis à Osama Njeim al-Masri, chef de l’Autorité de la police judiciaire en Libye et accusé de crimes contre l’humanité, d’échapper à la justice après son arrestation conformément à un mandat de la Cour pénale internationale (CPI). 

Le 16 janvier 2025, Alkarama a saisi le Groupe de travail des Nations unies sur les disparitions forcées (GTDF) au sujet des cas de Mare Salih Mohammed Mohamed Al Arifi et d’Abdulrahman Khaled Abdulrahman Sulayman. Ces deux ressortissants libyens ont disparu après leur arrestation par des membres de l’« Autorité de soutien à la stabilité », une milice dirigée par Abdel Ghani Al Kikli, alias « Ghniwa ». 

Des enregistrements vidéo récemment diffusés ont révélé des scènes terrifiantes de torture dans la prison de "Qarnada", située dans la ville de Shahat, au nord-est de la Libye, une zone sous le contrôle des forces loyales au général retraité Khalifa Haftar. 

Le 09 décembre 2024, Alkarama s’est adressé au Groupe de travail de l’ONU sur les détentions arbitraires concernant la détention des deux frères Aboubakr et Embarek AL KHAZMI suite à leur arrestation par les forces de Misrata le 7 septembre 2021.

Disparus à la suite de leur arrestation