Alkarama a informé le Groupe de travail des Nations Unies sur les disparitions forcées ou involontaires (WGEID) de la réapparition de plusieurs victimes de disparition forcée en Libye, dont les cas avaient été précédemment soumis par Alkarama. Ces victimes ont récemment été libérées par les autorités gouvernementales de plusieurs prisons secrètes auparavant contrôlées par des milices armées.