Aller au contenu principal

Amnesty International, FIDH (Fédération internationale des ligues des droits de l'homme), Fondation Alkarama, Human Rights Watch, Ligue des droits de l'homme, OMCT (Organisation mondiale contre la torture), REDRESS, REMDH (Réseau euro-méditerranéen des droits de l'homme), TRIAL (Track Impunity Always)

Le 29 janvier 2015, Alkarama a informé le Rapporteur spécial sur le droit de réunion pacifique et d'association, M. Maina Kiai, de la violente répression de la manifestation pacifique – organisée suite à la condamnation du défenseur des droits de l'homme, Biram Dah, à Nouakchott le 19 janvier 2015 – où les forces de police ont fait un usage excessif de la force contre les manifestants.

Le 30 janvier 2015, Alkarama a transmis ses commentaires sur le rapport de suivi étatique de la République de Djibouti concernant les questions spécifiques ayant fait l'objet de

Le Comité des Droits de l'Homme des Nations Unies a établi, au cours de sa 111ème session, la responsabilité des autorités algériennes dans l'assassinat de Nedjma Bouzaout, épouse Bousseloub, le 26 janvier 1996 dans la commune d'Oudjana près de Taher (wilaya de Jijel). Les auteurs de cette exécution sommaire, des éléments de la garde communale d'Oudjana, étaient accompagnés lors de leur crime par des militaires de l'Armée Nationale populaire (ANP) stationnés dans ce village.

Le 12 janvier 2015, Alkarama a saisi le Groupe de travail sur la détention arbitraire (GTDA) des Nations Unies pour qu'il appelle les autorités irakiennes à mettre fin à la détention arbitraire d'Ahmad Al Alwani, un membre du Conseil des représentants irakien, en le libérant immédiatement. M.

Le 28 août 2014, lors de sa 71ème session, le Groupe de travail des Nations Unies sur la détention arbitraire (GTDA) a adopté un avis sur les cas de Tarek Mostafa Marei et de Abdel Karim Al Mustafa, deux citoyens libanais condamnés le 6 août 2013 à 15

Le 8 janvier 2015, Alkarama a saisi en urgence le Groupe de Travail des Nations Unies sur la détention arbitraire (GTDA) et celui sur les disparitions forcées ou involontaires (GTDFI) du cas d'Ahmed Mahmoud Mahmoud Taha Mahmoud, un lycéen de 16 ans détenu incommunicado depuis son arrestation par des agents des forces de sécurité centrale le 18 mai 2014.

Le 5 janvier 2015, Alkarama a sollicité le Rapporteur spécial sur la promotion et la protection des droits de l'homme et des libertés fondamentales dans la lutte antiterroriste concernant le cas de Hanene Chaouch – une jeune bénévole militant notamment en faveur des orphelins - détenue et torturée par les autorités tunisiennes au nom de la lutte contre le terrorisme menée par l'État tunisien depuis quelques années.

Le 6 janvier 2015, Alkarama a envoyé un appel urgent au Groupe de Travail des Nations Unies sur la détention arbitraire (GTDA) pour demander la libération immédiate d'un égyptien de 16 ans, Seif Al Islam Osama Shousha, arrêté et détenu arbitrairement depuis le 8 mars 2014 sur la base de fausses accusations.

Le 5 décembre 2014, Alkarama a saisi en urgence le Rapporteur spécial contre la torture (SRT) du cas d'une jeune femme d'une vingtaine d'années, dont la famille souhaite que le nom ne soit pas divulgué, arrêtée et torturée par les services de sécurité sous prétexte de lutte contre le terrorisme.

S'abonner à