Dans la matinée du 18 décembre 2014, moins d'une semaine après le retour de Layla et Tarek Issawi de Genève où ils s'étaient rendus pour recevoir le Prix Alkarama 2014 pour les défenseurs des droits de l'homme au nom de leur fille, Shireen, toujours détenue par Israël, leur plus jeune fils, Shadi, étudiant en droit, a été ré-arrêté par les forces israéliennes à un poste de contrôle. Son arrestation s'inscrit dans une vaste campagne de représailles menée à l'encontre de la famille Issawi.