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Le 23 mars 2015, Alkarama a soumis son rapport sur la situation des droits de l'homme en Mauritanie en vue de l'Examen périodique universel (EPU) qui se tiendra le 3 novembre 2015.

Lors du lancement de son rapport annuel à Genève le 26 mars, Alkarama a fustigé les États arabes qui tentent de nuire non seulement au système onusien des droits de l'homme, mais aussi à la société civile arabe, le tout sous le prétexte de lutte contre le terrorisme, une étiquette qui est devenue l'arme de prédilection des régimes autoritaires pour étouffer toute critique.

Le 26 mars 2015, Alkarama a adressé une communication au Comité des droits de l'homme (CDH) pour l'informer des mesures de représailles menées par les autorités algériennes contre certaines familles de la région de Jijel qui l'avaient saisi de plaintes individuelles à la suite de la disparition forcée ou de l'exécution sommaire de leurs proches dans les années 1990.

Le 13 mars 2015, Alkarama a adressé une communication de suivi au Rapporteur spécial sur la situation des défenseurs des droits de l'homme, Michel Forst, afin de l'informer de la condamnation de Rachid Aouine à 6 mois de prison ferme pour avoir incité à manifester.

Le 23 mars 2015, Alkarama a soumis son rapport sur la situation des droits de l'homme au Liban au Conseil des droits de l'homme en vue de son Examen périodique universel (EPU) prévu le 3 novembre 2015.

Alkarama a saisi le Comité des droits de l'homme des Nations Unies du cas de Fateh Dafar, arrêté en novembre 1994 par par les forces de la gendarmerie nationale d'Al Aouana puis sommairement exécuté en compagnie de plusieurs autres détenus, sans aucune procédure judiciaire préalable.

Ce mardi 10 mars 2015, le Rapporteur spécial des Nations Unies sur la torture, M. Juan E. Méndez, a présenté les principales conclusions de son rapport concernant sa visite de suivi en Tunisie effectuée du 4 au 6 juin 2014. Le but de cette visite était d'évaluer les progrès réalisés par le gouvernement dans la mise en œuvre de ses recommandations.

Le 4 mars 2015, Alkarama a adressé un appel urgent au Rapporteur spécial sur la situation des défenseurs des droits de l'homme concernant l'arrestation, le 1er mars dernier à El-Oued, de Rachid Aouine, sous le prétexte d'avoir diffusé un appel sur les réseaux sociaux à se joindre au vaste mouvement de contestation populaire contre l'exploitation du gaz de schiste.

Le 20 février 2015, Alkarama a saisi les procédures spéciales des Nations Unies du cas de Rachid Ghribi Laroussi, arrêté en juin 2003 dans le cadre de la vaste campagne de répression qui a suivi les attentats de Casablanca et condamné à 20 ans de prison à l'issue d'un procès inéquitable.

Arrêté sans mandat de justice sur son lieu de travail à Tanger le 2 juin 2003, Rachid Laroussi a été détenu au secret pendant près de trois mois sans aucun contact avec l'extérieur et sans aucune procédure légale.

Le 23 février 2015, Alkarama a saisi le Rapporteur spécial des Nations Unies sur le droit de réunion pacifique et d'association concernant l'arrestation de huit activistes par la police algérienne lors d'une manifestation pacifique qui s'est déroulé le 28 janvier 2015 devant le tribunal de Laghouat en soutien à Mohamed Reg, militant du mouvement des chômeurs de Laghouat.

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