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Le citoyen danois d'origine libanaise Arabi Ali Muhammad Ibrahim a été libéré après 11 jours de détention arbitraire et en dehors de tout cadre légal. Le 29 octobre 2021, Alkarama avait adressé un appel urgent au Groupe de travail des Nations Unies sur les disparitions forcées. Les forces de sécurité libanaises avaient enlevé M. Arabi Ali Muhammad Ibrahim, le 20 octobre 2021 dans le quartier Al-Mankoubin à Tripoli, au Liban.

Le 15 avril 2021, Alkarama a soumis son rapport au Secrétaire général de l'ONU (UNSG) concernant plusieurs cas de représailles en Arabie Saoudite et aux Emirats Arabes Unis. En vertu de la résolution 12/2, le Secrétaire général de l'ONU soumet au Conseil des droits de l'homme un rapport annuel compilant les informations reçues sur les actes de représailles pour la coopération avec l'ONU dans le domaine des droits de l'homme.

Alkarama et un certain nombre d'organisations libanaises et internationales de défense des droits de l'homme ont soumis une pétition à la commission des droits de l'homme du Parlement, pour enquêter sur les violations commises contre des manifestants libanais arrêtés dans le cadre des récentes manifestations populaires à Tripoli.

Alkarama exprime sa vive préoccupation face à la possibilité que les autorités libanaises expulsent la citoyenne russe Viktoriya Matsakova vers son pays, où elle risque d'être torturée.

Le 23 mars 2015, Alkarama a soumis son rapport sur la situation des droits de l'homme au Liban au Conseil des droits de l'homme en vue de son Examen périodique universel (EPU) prévu le 3 novembre 2015.

Le 28 août 2014, lors de sa 71ème session, le Groupe de travail des Nations Unies sur la détention arbitraire (GTDA) a adopté un avis sur les cas de Tarek Mostafa Marei et de Abdel Karim Al Mustafa, deux citoyens libanais condamnés le 6 août 2013 à 15

Le 30 juillet 2014, Alkarama a saisit le Groupe de travail des Nations Unies sur la détention arbitraire pour porter à son attention les cas de Tarek Mostafa Marei et Abdel Karim Al Mustafa, deux citoyens libanais condamnés le 6 août 2013 à 15 ans de prison après un procès entaché de graves violations.

Jemaa Ahmad Massini et Alaeddine Moussa Ibrahim sont deux jeunes Syriens résidant au Liban. Ils ont été arrêtés en février 2009 dans les rues de Dora, au Nord-Est de Beyrouth, par des agents des forces de sécurité intérieure.