Le 15 novembre 2017, le défenseur des droits de l’homme Rafik Belamrania a été condamné par le Tribunal criminel de Jijel à cinq années d’emprisonnement pour « apologie du terrorisme ». Il a également été condamné à une peine complémentaire de trois ans de privation de ses droits civils et politiques, signifiant, entre autres, qu'il ne peut être membre d'aucune association ni entreprendre des activités de défense des droits de l'homme.