Articles pour Algérie

Le 18 janvier 2018, Alkarama a adressé une communication urgente au Rapporteur Spécial sur la promotion et la protection du droit à la liberté d’opinion et d’expression (RSFRDX) après l’arrestation d’Amine Fadha – professeur de physique, défenseur des droits de l’homme et membre d’associations caritatives – sur la base de publications sur Facebook, dans lesquelles il aurait critiqué le gouvernement et l’armée.

Le 15 novembre 2017, le défenseur des droits de l’homme Rafik Belamrania a été condamné par le Tribunal criminel de Jijel à cinq années d’emprisonnement pour « apologie du terrorisme ». Il a également été condamné à une peine complémentaire de trois ans de privation de ses droits civils et politiques, signifiant, entre autres, qu'il ne peut être membre d'aucune association ni entreprendre des activités de défense des droits de l'homme.

Après la revue de l’Algérie dans le cadre de l’examen périodique universel en juin 2017, le Conseil des droits de l’homme a adopté, lors de sa 36ème session, le 22 septembre 2017, le document final marquant ainsi la fin de ce troisième cycle pour le pays.

Dans le cadre de l’examen périodique de l’Algérie par le Comité des droits de l’homme (Comité DH) qui se tiendra en 2018, le 24 juillet 2017, Alkarama a soumis sa contribution à la Liste de questions qui sera préparée par les experts du Comité puis publiée au terme de sa

Le 11 mai 2017, le Groupe de travail sur l'Examen périodique universel (EPU), établi par le Conseil des droits de l'homme (CDH), a adopté son rapport contenant les recommandations adressées par les États membres des Nations Unies à Algérie lors de son examen le 2 mai 2017.

Le 27 février 2017, Alkarama a adressé une communication urgente au Comité des Droits de l'Homme (CDH) des Nations Unies après l’arrestation de M.

Lors de sa 117ème session qui s’est tenue à Genève du 17 octobre au 4 novembre 2016, le Comité des droits de l’Homme des Nations Unies a rendu sa décision concernant le cas de M.

Le journaliste algérien Mohamed Tamalt, âgé de 42 ans,  est décédé dimanche 11 décembre 2016 à Alger suite à une longue grève de la faim entamée pour protester contre sa détention arbitraire. Son décès est survenu après un coma de trois mois. Son arrestation avait eu lieu le 27 juin 2016, huit jours après avoir quitté le Royaume-Uni où il résidait pour revenir à Alger. Avant son retour, le journaliste avait pourtant été assuré qu’il ne serait pas inquiété en raison de ses activités de journaliste et de ses critiques à l’égard du régime.

Déféré devant le tribunal correctionnel d’El-Bayadh le 28 novembre 2016 avec deux citoyens victimes de violences policières, Hassan Bouras vient de nouveau d’être condamné par la justice algérienne pour son activisme. Le Tribunal d’El Bayadh a condamné les deux victimes à un an de prison ferme pour « outrage à corps constitué » et Hassan Bouras à la même peine pour  « complicité d’outrage à corps constitué » et « exercice de la profession de journaliste sans autorisation ».

Le 24 novembre 2016, Alkarama a saisi le Rapporteur spécial sur la promotion et la protection des droits de l’homme et des libertés fondamentales dans la lutte antiterroriste (SRCT) du cas de Tijani Ben Derrah et Adel Ayachi, deux blogueurs et militants des droits de l’homme algériens récemment condamnés à des peines de prison pour « apologie du terrorisme ».