Alkarama a appris que M. Adel Abdelmalek, un ancien gendarme, a été condamné à huit ans de prison par la justice militaire algérienne sur la base d’accusations forgées de toutes pièces, selon la famille de la victime.
Le Groupe de travail de l’ONU sur la détention arbitraire a appelé les autorités algériennes à libérer immédiatement M. Abderrahmane Zitout, citoyen algérien arbitrairement détenu depuis son arrestation sur son lieu de travail le 30 mars 2022 par des agents des services de renseignements.
Le 29 août 2023, Alkarama a adressé un appel urgent au Groupe de travail des Nations Unies sur les disparitions forcées concernant l'ancien gendarme M. Adel Abdelmalek, en disparition forcée depuis son enlèvement samedi 19 août au soir au siège de la gendarmerie nationale dans la wilaya de Tébessa par un groupe affilié aux services de renseignement algériens, selon son frère, le journaliste Anouar Malek.
Une experte de l'ONU s'est déclarée préoccupée par la répression croissante contre la société civile par les autorités algériennes après la dissolution de la Ligue algérienne pour la Défense des Droits de l'Homme (LADDH) et du Rassemblement Actions Jeunesse (
Dans une décision en date du 25 novembre 2022, le Comité des droits de l’homme des Nations Unies a clairement établi une nouvelle fois la responsabilité de l’Algérie du fait des violations subies par une des victimes de la répression des années 90, Toufik DJAOU porté disparu depuis son enlèvement à Constantine par des agents du dépar
Le 30 septembre 2022, Alkarama a soumis au Groupe de travail de l’ONU sur la détention arbitraire le cas d’Abderrahmane Zitout arrêté le 30 mars 2022 à 18 heures par une dizaine d’agents de la police en civil et armés alors qu’il était dans sa boutique de vente de vêtement situé au rez-de-chaussée de son domicile familial.
En dépit de nombreux appels des experts indépendants onusiens à réviser sa législation antiterroriste qui viole tant le droit interne que le droit international, les autorités algériennes ont procédé à l’inscription illégale de 16 personnes dans des listes « terroristes ».