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Le Groupe de travail sur la détention arbitraire (GTDA) a adopté l'avis 50/2011 le 2 septembre 2011 concernant le cas de Maikel Nabil Sanad dans lequel il qualifie le procès de M. Sanad d'inéquitable et appelle les autorités égyptiennes à libérer et indemniser la victime. M.

(Abou Dabi, le 28 novembre 2011) - Le verdict de culpabilité émis à l'encontre de cinq militants par la Cour suprême fédérale des Émirats arabes unis le 27 novembre 2011 est le résultat d'un procès inique. Le jury de quatre juges étrangers a délivré le verdict via une déclaration de dix minutes au tribunal, condamnant Ahmed Mansoor, un éminent réformateur émirati, à trois ans d'emprisonnement, et chacun des autres prévenus à deux ans, pour insultes publiques aux autorités des Émirats. Les détenus n'ont aucun droit de faire appel dans cette affaire.

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Le Groupe de travail de l'ONU sur la détention arbitraire, dont les experts sont actuellement réunis en Session à Genève, a notifié sa décision concernant la détention de M.

Lors de la « marche du million » organisée le 18 novembre dernier, les forces égyptiennes de la sécurité centrale ont fait usage de gaz lacrymogènes et ont tiré à balles réelles sur les manifestants pour tenter de les disperser.
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Le Groupe de travail sur la détention arbitraire, réuni au cours de sa 61e session, a conclu à la nature arbitraire de la détention des deux militantes syriennes Tal Al-Mallouhi et Tuhama Maruf.

Le Tribunal pénal spécial de Riyad a rendu son verdict aujourd'hui dans l'affaire d'un groupe de partisans de la réforme politique, parmi lesquels Dr Saud Mukhtar Al-Hashimi et Sulaiman Al-Rashoudi, détenus depuis plusieurs années en-dehors de toute procédure légale. La juridiction a retenu de très lourdes peines contre les opposants politiques allant de 13 à 30 ans d'emprisonnement.

Abdessalam Salim, 37 ans, et Omar Akbar, 35 ans, deux Chinois musulmans d'origine ouyghour avaient été arrêtés en juin 2008 à Dubai avec leurs épouses par les forces de sécurité de l'Etat. Après deux ans de détention en cellule d'isolement, ils ont été jugés et condamnés par la Cour suprême fédérale le 29 juin 2010 à dix ans d'emprisonnement pour crime de terrorisme, décision à laquelle ils ne peuvent faire appel.

La Fondation Alkarama (Genève) et l'Organisation Nationale pour la Défense des Droits et des Libertés - Hood (Sana) prient les autorités irakiennes de ne pas appliquer la peine de mort à l'encontre de deux citoyens yéménites, au sein d'un groupe de dix-neuf prisonniers détenus depuis de nombreuses années, et qui ont fait l'objet de procès et condamnations injustes, dont une femme yéménite qui a été condamnée à la réclusion à perpétuité.

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