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Comme d'habitude, les délégations gouvernementales arabes exploitent les sessions du Conseil des droits de l'homme des Nations unies comme une plateforme de relations publiques pour améliorer leur bilan en matière de droits humains, plutôt que d'utiliser les dialogues interactifs pour élaborer une vision sérieuse visant à améliorer la situation des droits de l'homme et à mettre fin aux politiques de répression et d'intimidation. 

Le 18 février 2025, Alkarama s'est adressée au Groupe de travail de l'ONU sur la détention arbitraire concernant le cas de cinq Syriens arbitrairement détenus depuis leur arrestation le 11 décembre 2024 par les forces de sécurité intérieure de Benghazi. 

La justice sociale constitue un pilier fondamental pour la protection et la promotion des droits humains. En garantissant la justice sociale, les individus ont accès aux droits fondamentaux nécessaires pour vivre dans la dignité.

Par sa résolution 77/243, l'Assemblée générale des Nations Unies a proclamé le 12 février Journée internationale pour la prévention de l'extrémisme violent conduisant au terrorisme, dans le but de sensibiliser aux menaces associées à l'extrémisme violent et de renforcer la coopération internationale en la matière. 

La Rapporteuse spéciale des Nations Unies sur la situation des défenseurs des droits de l’homme, Mme Mary Lawlor, a exprimé sa profonde déception face à la poursuite de la détention arbitraire, du harcèlement judiciaire, de l’intimidation et de la criminalisation des défenseurs des droits de l’homme en Algérie en raison de leurs activités pacifiques, sur la base de dispositions formulées de manière vague, telles que « porter atteinte à la sécurité de l’État ». 

Dans une lettre adressée à la Mission permanente italienne auprès des Nations Unies à Genève, Alkarama a fermement condamné les autorités italiennes pour avoir permis à Osama Njeim al-Masri, chef de l’Autorité de la police judiciaire en Libye et accusé de crimes contre l’humanité, d’échapper à la justice après son arrestation conformément à un mandat de la Cour pénale internationale (CPI). 

Le 28 janvier 2025, l'Égypte sera examinée dans le cadre de l'Examen Périodique Universel (EPU) du Conseil des droits de l'homme des Nations Unies, concernant la situation des droits de l'homme au cours des quatre dernières années. 

Le 16 janvier 2025, Alkarama a saisi le Groupe de travail des Nations unies sur les disparitions forcées (GTDF) au sujet des cas de Mare Salih Mohammed Mohamed Al Arifi et d’Abdulrahman Khaled Abdulrahman Sulayman. Ces deux ressortissants libyens ont disparu après leur arrestation par des membres de l’« Autorité de soutien à la stabilité », une milice dirigée par Abdel Ghani Al Kikli, alias « Ghniwa ». 

Le 16 janvier 2025, Alkarama a adressé une demande d'intervention urgente au Comité des Disparitions Forcées des Nations Unies (CED) concernant la disparition de M. Ayesh Al Harby, un ressortissant saoudien actuellement détenu dans la prison d'Al Rusafa à Bagdad, en Irak. 

Ayesh AL HARBY, disparu pendant sa détention 

La Rapporteuse spéciale des Nations Unies sur la situation des défenseurs des droits de l’homme, Mme Mary Lawlor, a exprimé sa profonde préoccupation face à l’application persistante de la législation antiterroriste en Égypte pour emprisonner des défenseurs des droits de l’homme. Elle a notamment évoqué plusieurs cas, dont celui de M.

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