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Des agents des services de la Sécurité politique à Sana'a ont empêché les journalistes de couvrir le rassemblement pacifique des familles de prisonniers qui s'est tenu en face du quartier général de la Sécurité politique le 10 novembre 2009.
Pour seulement la deuxième fois dans l'histoire du Comité contre la Torture, un examen périodique a pris place en absence de la délégation de l'État concerné - le premier étant celui du Cambodge lors de son examen initial du 29 avril 2003. Alkarama était présent pour l'examen du Comité contre la Torture le 3 novembre 2009, pour lequel elle avait soumis une contribution.
Huit étudiants, suspectés d'appartenir aux Frères musulmans, ont été arrêtés le 28 octobre 2009 par des agents des services de renseignement de la sûreté de l'Etat. Ils ont été détenus pendant trois jours au secret au poste de police de Zagaziq avant d'être transférés le 30 Octobre 2009 à la prison de Damanhour.
Abdullah Majed Sayah al-Nuaimy, qui a été initialement porté disparu par les autorités saoudiennes le 29 octobre 2008, est réapparu dans une prison saoudienne selon certaines sources.
Le Comité contre la torture doit examiner lors de sa 43e session, le 3 novembre 2009, le deuxième rapport périodique du Yémen. Alkarama a présenté dans ce cadre une contribution qui met en relief la situation préoccupante des droits humains dans ce pays.
Le rapporteur du Comité des droits de l'homme a adressé le 27 août 2009 une lettre au Représentant permanent algérien auprès des Nations-Unies, lui rappelant que dans le cadre du suivi des Observations finales du Comité, l'Etat algérien n'a pas fourni d'informations pour trois d'entre elles dans le délai d'un an comme demandé.
Dans le cadre du suivi de quatre recommandations du Comité contre la torture, Alkarama a présenté à l'organe onusien une contribution relevant l'absence de mise en application de celles-ci.
Durant les 3 derniers mois, le gouvernement égyptien a entrepris de nombreuses arrestations  collectives qui ont touché les membres les plus influents du mouvement des Frères musulmans.
Dans le cadre du suivi des recommandations du Comité des droits de l'homme suite à l'examen du rapport périodique, la Tunisie a fourni en mars 2009 des explications pour quatre d'entre elle.
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