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Le Dr Abdul Rahman Al-Hamid, militant des droits de l'homme et membre de l'Association pour les droits civils et politiques "ACPRA", a été libéré par les autorités saoudiennes après avoir purgé neuf ans d'emprisonnement prononcé à l'issue d'un procès inéquitable en raison de son activisme pacifique. Il reste cependant sous le coup d'une interdiction de voyager pendant encore neuf ans.

Alkarama a appris que les autorités saoudiennes ont libéré l’universitaire Abdulkareem Al-Khodr, après qu’il ait passé 10 ans derrière les barreaux dans le cadre d’un procès inéquitable, pour avoir exercé son droit à l’opinion.

Alkarama avait précédemment soumis son cas ainsi que celui de plusieurs autres détenus aux experts de l’ONU.

Le 23 décembre 2022, Alkarama a adressé un appel urgent au Rapporteur spécial sur la torture concernant la situation de Tawfiq Al Mansoori, Harith HAMID et Abdul Khaleq AMRAN, journalistes yéménites soumis à des actes de torture pendant leur détention dans la prison du camp central de sécurité de la capitale yéménite, Sanaa.

Le 19 décembre 2022, l’Irak a été exhorté par le Comité de l’ONU contre les disparitions forcées (CED) à révéler le sort de Salam Al Boumahidi et Hazim Al Ezzawi, citoyens irakiens disparus dans le courant de l’année 2014 à la suite de leur enlèvement par l’armée irakienne.

Le 29 novembre 2022, Alkarama a soumis le cas de Mustafa Faraj Mohammad Masud AL JADID AL UZAYBI (également connu sous le nom de « Abu Faraj AL LIBI ») au Groupe de travail des Nations Unies sur la détention arbitraire (GTDA). Ce ressortissant libyen est détenu arbitrairement au centre de détention de Guantánamo Bay depuis son transfert d’un « site noir » de la CIA le 4 septembre 2006.

En décembre 2022, le Comité des droits des personnes handicapées (CDPH) a, de nouveau, appelé les autorités saoudiennes à libérer immédiatement le savant religieux Safar bin Abdulrahman Al Hawali, âgé de 70 ans.

Le 30 novembre 2022, Alkarama a alerté le Groupe de travail de l’ONU sur les détentions arbitraires concernant sur la situation de M. Khaled Bin Mohamed AL RASHED, détenu depuis 2006 et qui avait été condamné à 15 ans d’emprisonnement pour avoir émis des critiques publiques sur la politique des dirigeants du pays.

Dans une décision en date du 25 novembre 2022, le Comité des droits de l’homme des Nations Unies a clairement établi une nouvelle fois la responsabilité de l’Algérie du fait des violations subies par une des victimes de la répression des années 90, Toufik DJAOU porté disparu depuis son enlèvement à Constantine par des agents du dépar

La Cour de sûreté de l'État de la République des Comores a condamné l'ancien président Ahmed Abdallah Sambi à la prison à vie pour haute trahison, en dépit de la décision du Groupe de travail des Nations unies dans laquelle sa détention a été qualifiée d’arbitraire. 

Des sources de droits de l'homme ont rapporté que M. Walid Fouad Al Ghunaimi Al Maghazi, disparu de force, a comparu le 27 octobre 2022 devant le Procureur de la Sécurité de l'État qui a décidé de le placer en détention à la prison d'Abu Zaabal. Sa famille n'a pas pu lui rendre visite ni n’a pu accéder au dossier pénal.

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