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Chaque année, à cette date, le 21 septembre 2024, le monde commémore la Journée internationale de la paix, établie par l'Assemblée générale des Nations Unies dans sa résolution 55/282 du 7 septembre 2001, « comme une journée de cessez-le-feu mondial et de non-violence, une invitation à toutes les nations et à tous les peuples à honorer une cessation des hostilités pendant la durée de la Journée ».

Aujourd'hui, le 15 septembre 2024, le monde célèbre la Journée internationale de la démocratie, qui a été établie par l'Assemblée générale des Nations Unies dans sa résolution 62/7 du 8 novembre 2007, afin que le système des Nations Unies soutienne les efforts des gouvernements pour promouvoir et consolider des démocraties nouvelles ou restaurées. 

Les États-Unis ont continué à mener des guerres sous diverses formes depuis les attaques du 11 septembre 2001. Le monde entier est devenu un champ de bataille pour les campagnes américaines et alliées contre le « terrorisme », souvent au mépris du droit humanitaire international et des normes en matière de droits de l’homme. 

Une Mission indépendante des Nations Unies (ONU) a rapporté que les parties belligérantes de la guerre au Soudan ont commis une série de violations effroyable des droits de l'homme et de crimes internationaux, dont plusieurs pourraient constituer des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité. 

Chaque année, à cette date, le monde célèbre la Journée internationale de la charité, instituée par l'Assemblée générale des Nations Unies dans sa résolution 67/105 du 17 décembre 2012. 

À l'approche de l'élection présidentielle algérienne du 7 septembre 2024, l'Algérie traverse une période de répression particulièrement sévère, marquée par une vague d'arrestations arbitraires visant des opposants politiques, des militants prodémocratie, des journalistes, des universitaires, et des défenseurs des droits humains.

Chaque année, le 30 août, le monde commémore la Journée internationale des victimes de disparitions forcées, tandis que des milliers de familles arabes attendent encore des nouvelles de leurs proches victimes de ce crime, considéré comme l'une des violations les plus graves des droits de l'homme. Si ce crime est pratiqué de manière systématique à grande échelle, il peut même être considéré comme un crime contre l'humanité, un crime qui ne finit jamais. 

Alkarama condamne les pratiques répressives, le harcèlement continu et les menaces à l'encontre de l'avocat libanais des droits de l'homme Mohamed Sablouh, mettant en garde contre toute atteinte à sa personne et appelant à sa protection ainsi qu'à la garantie de son droit à exercer son activité juridique et de défense des droits de l'homme de manière pacifique. 

Alkarama exprime sa profonde inquiétude face aux rapports faisant état de raids et d'arrestations menés par les Émirats Arabes Unis contre des résidents palestiniens et arabes du pays pour leur solidarité avec le peuple palestinien face aux meurtres et au génocide commis par l'occupation israélienne à Gaza. 

Alkarama a soumis au Groupe de Travail sur la Détention Arbitraire (GTDA) des Nations Unies une plainte concernant l’expulsion et la détention arbitraires de

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