Alkarama, ainsi que 39 organisations régionales et locales concernées par la liberté d’opinion, d’expression et les droits de l’homme, ont appelé toutes les parties au conflit au Yémen à respecter la liberté de la presse et à libérer immédiatement et sans condition les journalistes détenus pour leurs activités médiatiques, que ce soit dans les prisons houthies, les prisons du gouvernement yéménite ou les prisons d’Al-Qaïda.