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Au cours de sa 135ème session, qui s’est déroulée à Genève du 27 juin au 27 juillet 2022, le Comité des droits de l’homme des Nations Unies a conclu à la responsabilité de l’État algérien du fait de la disparition forcée de Boubekeur FERGANI dans les années 1990.

Le 17 octobre 2022, l’Irak a été appelé par le Comité des disparitions forcées de l’ONU à révéler le sort du citoyen irakien, Amer Al Kartani, disparu depuis son enlèvement le 21 mai 2014 au domicile familial.

Le 4 octobre 2022, Najda for Human Rights et Alkarama ont lancé un appel urgent au Groupe de travail de l’ONU sur les disparitions forcées concernant la situation de M. Walid Fouad Al Ghunaimi AL MAGHAZI arrêté devant son domicile le 17 septembre 2022 à 1h00 du matin par plusieurs membres des services de sécurité égyptiens. 

Le 30 septembre 2022, Alkarama a soumis au Groupe de travail de l’ONU sur la détention arbitraire le cas d’Abderrahmane Zitout arrêté le 30 mars 2022 à 18 heures par une dizaine d’agents de la police en civil et armés alors qu’il était dans sa boutique de vente de vêtement situé au rez-de-chaussée de son domicile familial.

Arrestation de M. Aberrahmane Zitout

Le 23 septembre 2022, Alkarama s’est adressé au Groupe de travail de l’ONU sur la détention arbitraire concernant la situation du colonel Osama Muhammad Saleh AL GHAFIR AL OBEID capturé en 2016 par les milices du Général Khalifa Haftar alors qu’il assurait avec ses hommes la sécurisation des installations pétrolières dans la région de Syrte. 

Contexte

En dépit de nombreux appels des experts indépendants onusiens à réviser sa législation antiterroriste qui viole tant le droit interne que le droit international, les autorités algériennes ont procédé à l’inscription illégale de 16 personnes dans des listes « terroristes ». 

Plusieurs activistes saoudiens et étrangers, ONG et Alkarama ont lancé une campagne de défense des droits de l'homme pour demander la libération des prisonniers de conscience dans le Royaume d'Arabie saoudite et pour dénoncer les décisions injustes rendues récemment par les autorités saoudiennes, qui ont affecté un certain nombre de prisonniers de conscience, y compris des détenus dont les peines ont expiré ou sont en voie d'achèvement, en violation flagrante des principes de justice et des lois et pactes internationaux.

Le 05 aout 2022, Alkarama a soumis les cas de Ahmed Ghaith AL SUWAIDI, Ahmed AL ZAABI, Ali AL HAMMADI, Ibrahim AL MARZOOQI, Hassan AL JABIRI, Husain AL JABIRI, Shaheen ALHOSANI, Sultan Bin Kayed AL QASIMI, Abdulsalam Darwish AL MARZOOQI, Khalid Mohammed ALYAMMAHI au Groupe de travail sur la détention arbitraire (GTDA) concernant leur maintien en détention dans les centres Munasaha en dépit de l’expiration de leurs peines.

Alkarama et les organisations yéménites et internationales de défense des droits de l’homme ont publié une déclaration à l’occasion de la Journée internationale des victimes des disparitions forcées, célébrée le 30 août de chaque année.

La déclaration conjointe appelle à une intervention urgente de toutes les parties au conflit au Yémen pour assurer la libération des personnes détenues arbitrairement, dans le respect de leurs droits à la dignité, la sûreté et la sécurité.

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