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Le 23 août 2016, le Groupe de travail sur la détention arbitraire (GTDA) a rendu un avis enjoignant aux autorités marocaines de libérer immédiatement Hamo Hassani, condamné à quinze ans de réclusion par la Cour d'appel de Rabat en 2005 sur la seule base d'aveux obtenus sous la torture.

Le 23 août 2016, le Groupe de travail sur la détention arbitraire (GTDA) a rendu un avis enjoignant aux autorités marocaines de libérer immédiatement Abdelkader Belliraj, citoyen belgo-marocain condamné à la prison à perpétuité en 2009 sur la seule base d'aveux obtenus sous la torture au cours d'une détention au secret de 28 jours.

Le 21 octobre 2016, Alkarama a envoyé aux experts du Groupe de travail sur la détention arbitraire (GTDA) de nouveaux éléments d'information concernant M. Ali Aarrass, détenu au Maroc depuis 2008 et condamné sur la seule base d'aveux obtenus sous la torture.

Alkarama vient de soumettre au Comité des droits de l'homme (Comité DH) son rapport en vue de l'examen du Maroc, prévu le 24 octobre prochain.

Le 22 septembre 2016, Alkarama a soumis au Conseil des droits de l’homme (CDH) son rapport sur la situation des droits de l’homme au Maroc en vue de son troisième Examen périodique universel (EPU) prévu en mai 2017.

Le 22 août 2016, le Comité contre la torture (CAT) des Nations unies a rendu sa décision relative à la communication d'Alkarama en date du 23 mai 2015 en enjoignant aux autorités marocaines de libérer Abdul Rahman Alhaj Ali, un ressortissant syrien réfugié au Maroc et détenu sous écrou extraditionnel depuis près de deux années et de s'abstenir de l'extrader vers l'Arabie Saoudite.

Le journaliste marocain Mustapha El Hasnaoui a été remis en liberté le 16 mai 2016 après avoir purgé la totalité de sa peine à la prison de Kénitra. Il avait été arrêté le 16 mai 2013, cinq jours après son retour de Turquie, d’où il avait été expulsé par les autorités turques sur dénonciation des autorités marocaines. Il projetait d’effectuer un reportage sur des djihadistes marocains recrutés pour combattre le régime de Bachar Al Assad en Syrie.

Le corps du jeune étudiant en droit de 21 ans originaire de Tan-Tan (sud du Maroc), Adnane Rahali, a été retrouvé sans vie à l'intérieur du campus de l'université Ibn Zhor d'Agadir lundi dernier. Sa famille était restée sans nouvelles de lui depuis le 17 décembre de l'année dernière.

La famille d’Adnane Rahali, étudiant en troisième année de droit à l’Université Ibn Zohr d’Agadir, est sans nouvelle de lui depuis le 17 décembre 2015. Originaire de Tantan – ville située à proximité du Sahara occidental –Adnane Rahali était très impliqué dans la vie associative de son université. Selon ses amis, celui-ci a été interpellé par des personnes en civil le soir du 17 décembre dans l’enceinte de l’université ; il n’a plus été revu depuis.

Le Sous-Comité d'Accréditation (SCA) du Comité International de Coordination (CIC) des Institutions Nationales des Droits de l'Homme (INDH) a rendu ses conclusions dans son rapport sur l'IN