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Le 8 octobre 2013, Yaqub Ali Muhammad Dow, ancien officier de l'armée libyenne âgé de 25 ans, a été arrêté par les forces révolutionnaires à Misratah parce que son nom figurait sur la liste des partisans présumés de l'ancien régime de Kadhafi. Détenu durant 6 mois à la prison Sikat de Misratah, il n'a jamais été officiellement inculpé, ni présenté devant un juge.

Genève-Paris- Alkarama, le Collectif des familles de disparus en Algérie (CFDA) et TRIAL poursuivent leurs efforts en faveur des victimes de graves violations des droits de l'homme en Algérie.

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Ali Al Shihabi, écrivain palestinien âgé de 57 ans, a été arrêté le 17 décembre 2012 par des agents de la branche palestinienne des Services de renseignement de l'armée syrienne près du camp de réfugiés d'Al Yarmouk, où il enseignait l'anglais dans une école de l'UNRWA.

Iwad Al Hayki, citoyen yéménite de 33 ans, est emprisonné à la prison d'Al Qasim depuis le 18 octobre 2010, date à laquelle il a été remis par le Qatar aux autorités saoudiennes. Détenu à l'isolement et au secret pendant près d'un an, il a subi de graves tortures. A ce jour, il n'a toujours pas été inculpé, ni jugé. Autant sa « restitution » par le Qatar aux autorités saoudiennes que les actes de tortures qu'il a subis en en détentionconstituent de graves violations de la Convention contre la torture, à laquelle les deux Etats sont parties

Le 11 mars 2013, le Conseil des droits de l'homme des Nations unies a tenu un dialogue interactif avec la Commission d'enquête sur la Syrie, qui a présenté son rapport et une mise à jour orale au Conseil.

Samedi 9 mars 2013, la Coordination nationale des familles de disparu (e)s (CNFD), a organisé un rassemblement devant la « Grande Poste » au centre ville d'Alger pour revendiquer la vérité sur le sort de leurs proches arrêtés ou enlevés lors de la « décennie noire » par les services de sécurité algériens. Cette manifestation a été violemment réprimée par les services de police qui ont notamment procédé à l'interpellation de plus de cinquante manifestants.

Le Comité des droits de l'homme de l'Organisation des Nations Unies a de nouveau condamné la Libye pour les graves et multiples violations des droits humains commises à l'encontre d'Abdeladim Ali Mussa Benali, victime à deux reprises de disparition forcée. Les experts onusiens appellent les nouvelles autorités libyennes à mener une enquête approfondie afin de faire la lumière sur sa disparition forcée et sur les tortures qu'il a subies en détention, à libérer immédiatement M.

Lors de sa 111ème session de juillet 2014, le Comité des droits de l'homme a rendu une opinion considérant que la disparition forcée d'Abdelhamid Al Daquel en juin 1996 constituait une série de violations par la Libye de ses obligations internationales.

Le Comité des droits de l'homme de l'Organisation des Nations unies vient de condamner la Libye à la suite des graves et multiples violations des droits humains commises à l'encontre d'un ressortissant libyen. Les nouvelles autorités libyennes ont maintenant l'obligation de mener une enquête effective et approfondie afin de faire la lumière sur la disparition forcée d'Abdussalam Il Khwildy et les tortures qu'il a subies en détention, de punir les auteurs de ces crimes et d'accorder une indemnisation appropriée.

Nassera Ghozlane, Secrétaire générale du Syndicat national des personnels de l'administration publique (SNAPAP), vient de nous informer qu'une douzaine de jeunes syndicalistes maghrébins ont été arrêtés ce matin par des agents de police à la maison syndicale de Bab Ezzouar, dans la banlieue d'Alger.

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