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Le 12 juin 2015, Alkarama a soumis sa contribution au Comité des disparitions forcées (CED) en vue de l'adoption par celui-ci de la liste de questions qui seront adressées à la Tunisie en septembre 2015, suite à la ratification par l'État de la Convention internationale pour la protection de toutes les personnes contre les disp

Le 12 juin 2015, Alkarama a saisi le Comité des droits de l'homme (CDH) des Nations Unies du cas de M'Rabih Ahmed Mahmoud Adda, un réfugié sahraoui des camps de Tindouf au sud de l'Algérie, arrêté par les services de renseignement algériens en août 2014 avant d'être remis au Front Polisario qui l'a détenu et torturé pendant 64 jours.

Le 17 juin 2015, Alkarama a saisi en urgence le Rapporteur spécial sur la Torture (RST) de la situation actuelle d'Abdessamad Bettar, torturé et transféré en isolement dans le quartier disciplinaire de la prison de Safi, dans laquelle il est détenu, pour avoir entamé une grève de la faim et revendiqué sa libération.

En février 2015, la famille d'Achour Berkaoui, disparu depuis son enlèvement par des agents des services de sécurité algériens en plein centre d'Alger en novembre 1994, a mandaté Alkarama pour présenter une plainte au Comité des Droits de l'Homme (CDH) des Nations Unies concernant la disparition de leur proche dans le but de faire reconnaître officiellement l'implication directe des autorités algériennes ainsi que d'obtenir réparation comme le prévoit le droit international.

Le 23 mai 2015, Alkarama a adressé un appel urgent au Comité contre la torture (CAT) des Nations Unies pour demander que des mesures provisoires soient prises d'urgence afin d'annuler la procédure d'extradition vers l'Arabie Saoudite d'Abdul Rahman Alhaj Ali – un demandeur d'asile syrien qui avait fui les persécutions dans son pays en 2014 pour se réfugier au Maroc avec son épouse et ses enfants – sur la base d'un mandat d'arrêt de 2007 qui a déjà été exécuté et n'est donc plus justifié.

Le 23 mars 2015, Alkarama a soumis son rapport sur la situation des droits de l'homme en Mauritanie en vue de l'Examen périodique universel (EPU) qui se tiendra le 3 novembre 2015.

Lors du lancement de son rapport annuel à Genève le 26 mars, Alkarama a fustigé les États arabes qui tentent de nuire non seulement au système onusien des droits de l'homme, mais aussi à la société civile arabe, le tout sous le prétexte de lutte contre le terrorisme, une étiquette qui est devenue l'arme de prédilection des régimes autoritaires pour étouffer toute critique.

Le 26 mars 2015, Alkarama a adressé une communication au Comité des droits de l'homme (CDH) pour l'informer des mesures de représailles menées par les autorités algériennes contre certaines familles de la région de Jijel qui l'avaient saisi de plaintes individuelles à la suite de la disparition forcée ou de l'exécution sommaire de leurs proches dans les années 1990.

Le 13 mars 2015, Alkarama a adressé une communication de suivi au Rapporteur spécial sur la situation des défenseurs des droits de l'homme, Michel Forst, afin de l'informer de la condamnation de Rachid Aouine à 6 mois de prison ferme pour avoir incité à manifester.

Le 23 mars 2015, Alkarama a soumis son rapport sur la situation des droits de l'homme au Liban au Conseil des droits de l'homme en vue de son Examen périodique universel (EPU) prévu le 3 novembre 2015.

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