Articles pour Yemen

M. Abdelhamid Al-Jaishi a été arrêté à la porte du domicile familial le 13 décembre 2009 par plusieurs agents des services de la sécurité politique (al-amn al-siyassi) qui l'ont emmené à une destination inconnue et qui depuis nient le détenir.

Alkarama a adressé le 14 juin 2010 une communication au Groupe de travail sur les disparitions forcées lui demandant d'intervenir auprès des autorités yéménites afin que M. Al-Jaishi soit libéré ou placé sous la protection de la loi.
Alkarama a appris que Mustafa et Ashraf Eid Namer Al-Haddad, âgés de 09 et 14 ans, qui avaient été arrêtés avec leur père le 2 juin 2010 ont été libérés le 9 juin 2010.
M. Omar Eid Namer Al-Haddad et ses deux fils âgés de 9 et 14 ans ont été arrêtés à leur domicile le 2 juin 2010 et emmenés vers une destination inconnue. Détenus au centre de détention des services de lutte antiterroriste, ils ont pu voir leur famille qui a constaé qu'ils avaient été battus et maltraités.

Alkarama a adressé le 8 juin 2010 une action urgente au Rapporteur spécial contre la torture lui demandant d'intervenir auprès des autorités yéménites dans le cas de la famille EID NAMER AL-HADDAD.
MM. Al-Nawar, Al-Qadasi et Al-Saffi ont tous trois été arrêtés par les services de la sécurité politique (Al Amn As-Siyassi) sous prétexte de la lutte antiterroriste et sont détenus arbitrairement depuis plusieurs mois sans avoir été présentés devant la justice.

Alkarama s'est adressée le 28 mai 2010 au Groupe de travail sur la détention arbitraire lui demandant d'intervenir auprès des autorités yéménites afin que les trois détenus soient placés sous l'autorité de la loi ou libérés.

Lors de la 44ème session du Comité contre la torture, le Yémen a assisté à l'examen de son deuxième rapport périodique avec une importante délégation qui devait répondre aux questions soulevées dans les observations préliminaires adoptées par l'organe onusien le 03 novembre 2009 lors de l'examen initial du même rapport qui s'était déroulé en l’absence de la délégation yéménite.
Lors de la 44ème session du Comité contre la torture, le Yémen a assisté à l'examen de son deuxième rapport périodique avec une importante délégation qui devait répondre aux questions soulevées dans les observations préliminaires adoptées par l'organe onusien le 03 novembre 2009 lors de l'examen initial du même rapport qui s'était déroulé en l’absence de la délégation yéménite.
M. Zakaria Al-Hijri a été arrêté le 22 mai 2008 par des agents des services de la sécurité politique à un « check-point » dans la zone de Sahoul à l’entrée de la ville d’Ibb. Détenu depuis, il n'a jamais été présenté devant un magistrat ni autorisé à consulter un avocat.

Alkarama s'est adressée le 22 mai 2010, deux ans jour pour jour après son arrestation, au Groupe de travail sur la détention arbitraire, le priant d'intervenir auprès des autorités yéménites afin qu'elles placent M. Al-Hijri sous l'autorité de la loi ou qu'elles le libèrent immédiatement.
M. Abdellatif Al-Kainai avait été arrêté le 15 mars 2005 par des membres des services de sécurité politique de Taizz à l’est de la ville d’Ibb. Détenu depuis dans différents lieux, il n'a à ce jour pas été jugé.

Le 12 mai 2010, Alkarama a adressé au Groupe de travail sur la détention arbitraire une communication, le priant d'intervenir auprès des autorités yéménites afin que M. Al-Kainai soit libéré au plus vite ou placé sous l'autorité de la loi.
Au cours de la 44ème session du Comité contre la torture, le Yémen (voir communiqué) a eu l’occasion le 6 mai 2010 de répondre aux observations finales provisoires au sujet de son deuxième rapport périodique. Ces observations préliminaires avaient été adoptées par l'organe onusien le 03 novembre 2009 lors de sa précédente session en l’absence de la délégation yéménite.
M. Sadman Hossain a été enlevé le 14 février 2010 par les agents de forces de la sécurité politique sur la route de l’aéroport alors qu’il se dirigeait à pied, en direction de l’aéroport international de Sanaa, accompagné de sa sœur Rifat. Il a disparu depuis.

Alkarama s'est adressée le 26 avril 2010 au Groupe de travail sur les disparitions forcées ou involontaires lui demandant d'intervenir en urgence auprès des autorités yéménites pour leur enjoindre de faire libérer M. Sadman HOSSAIN ou en tout état de cause de le placer sous l’autorité de la loi.