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Dr. Saud Mukhtar Al-Hashimi, arrêté avec huit autres personnalités le 2 février 2007 par les services de renseignements (Mabahith) à Jeddah est toujours détenu et soumis à de mauvais traitements. En raison de la grève de la faim qu'il a entamée le 1er juin, il subit des représailles.

Alkarama a interpellé le Rapporteur spécial sur la torture le 21 juillet 2009 lui demandant d'intervenir en urgence auprès des autorités saoudiennes afin que cessent les mauvais traitements infligés au Dr. Al-Hashimi.

Alkarama a appris que M. Mahmoud Kareem Farhan qui avait été enlevé le 22 février 2009 dans le bureau de M. Al-Dainy, député irakien lui-même pousuivi, a été libéré le 22 juin 2009 après quatre mois de détention au secret dans la zone verte de Bagdad.

Alkarama avait adressé le 20 mai 2009 une communication au Groupe de travail sur les disparitions forcées et au Rapporteur spécial contre la torture pour leur demander d'intervenir en urgence auprès des autorités en Irak dans le cas de onze personnes arrêtées ce même jour et dans les mêmes circonstances, parmi lesquelles se trouvait M.

Sheikh Messaad Bachir Ali Al Hadj, ressortissant soudanais, professeur de sciences islamiques très connu au Soudan et dans le monde islamique, a été arrêté arbitrairement le 22 juin 2009 et détenu pendant deux semaines au secret en Egypte. Il est rentré à Khartoum le 7 juillet 2009.

Alkarama a soumis le 10 juillet 2009 une communication urgente au Rapporteur spécial contre la torture pour lui demander d'intervenir auprès des autorités égyptiennes.
Le 1er octobre 2008, des membres de la police et services de la sûreté de l'Etat (Amn ad-dawla) ont fait brutalement irruption aux domiciles de plusieurs personnes, les ont enlevées et depuis, ces hommes sont détenus arbitrairement.

Alkarama a adressé le 14 juillet 2009 une communication au Groupe de travail sur la détention arbitraire, lui demandant d'intervenir auprès des autorités émiraties dans le cas des personnes citées ci-dessous qui sont détenues arbitrairement et pour lesquelles elle craint qu'elles ne soient torturées ou maltraitées:
Les organisations Alkarama et American Civil Liberties Union (ACLU) ont demandé le 25 juin 2009 aux rapporteurs spéciaux des Nations unies d'enquêter sur le cas d'Abou Elkassim Britel, citoy

Les organisations Alkarama et American Civil Liberties Union (ACLU) ont demandé le 25 juin 2009 aux Rapporteurs spéciaux des Nations unies d'enquêter sur le cas d'Abou Elkass

Lors de l'examen du cinquième rapport périodique de la Tunisie (CCPR/C/TUN/5) les 17 et 18 mars 2008, le Comité des droits de l'homme avait demandé dans ses Observations finales (CCPR/C/TUN/CO/5) au gouvernement tunisien de lui fournir des informations dans le délai d'une année sur l'application de quatre de ses recommandations.
Le 29 juin 2009, Rachid Mesli et Deborah Manning (Alkarama for Human Rights) ont été invités à présenter des informations à l'occasion de la 126e session du Comité des droits de l'homme des parlementaires de l'Union interparlementaire (UIP).
Alkarama a appris que M. Adel Saker, arrêté le 26 mai 2008 par la police de Tamalous (Skikda), a réapparu dans la prison de Skikda le 12 avril 2009, après avoir été détenu au secret par le Département des renseignements et de la sécurité (DRS) et en conséquence porté disparu.
Le 11 juin 2009, le Conseil des droits de l'homme a adopté le rapport du Groupe de travail sur la Jordanie dont la situation a été examinée lors de la quatrième session de l'Examen périodique universel (2-13 février 2009). Les observations des représentants des Etats présents lors de cette session et leurs recommandations sont consignées dans ce document. Les prises de positions et les engagements de l'Etat examiné en matière de protection des droits humains s'y reflètent également.
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