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Des sources de droits de l'homme ont rapporté que la Cour d'appel criminelle saoudienne a décidé de durcir la peine prononcée à l'encontre du prédicateur saoudien, Khaled Al-Rashed, condamné pour la deuxième fois, en ajoutant 17 années supplémentaires à sa peine, pour la porter à 40 ans, en violation flagrante de l'avis du Groupe de travail des Nations Unies sur la détention arbitraire demandant sa libération.

Le Comité des Nations unies sur les disparitions forcées se rend en Irak à partir du 12 novembre pour déterminer les moyens de lutte contre les cas de disparition forcée, conformément à son mandat au titre de l'article 33 de la Convention internationale pour la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées.

Le Procureur de la Cour pénale internationale (CPI), M.

Processus mené par les États au sein du Conseil des droits de l’homme (CDH) des Nations unies à Genève, l’Examen périodique universel (EPU) consiste à « passer en revue les réalisations de l’ensemble des États membres de l’ONU dans le domaine des droits de l’homme ».

L'épouse de l'éminent prisonnier d'opinion saoudien, le Dr Muhammad Al-Qahtani, a lancé un appel pour que soit révélé le sort de son mari qui a été coupé de tout contact téléphonique. Les autorités ont coupé son contact téléphonique habituel qu’il avait avec sa famille et qui était prévu pour le 24 octobre.

Alkarama a appris de sources saoudiennes de défense des droits de l'homme que la Cour d'appel pénale spécialisée dans les affaires de sécurité de l'État avait prononcé une peine de cinq ans de prison contre le journaliste yéménite détenu, Marwan Al-Muraisy.

Alkarama s'est adressée au Groupe de travail des Nations Unies sur les disparitions forcées ou involontaires, sollicitant son intervention auprès des autorités algériennes concernant le jeune militant Abdelhamid Bouziza, disparu de force depuis le 19 octobre.

Le Comité des disparitions forcées de l’ONU, chargé de veiller à l’application de la Convention internationale pour la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées ratifiée par l’Irak le 23 novembre 2010, a exhorté, le 18 octobre 2022, l’État partie à révéler le sort de Saleh Musa Ahmed Mohammed AL BAYDANI (1993) disparu de

Le Comité contre la torture des Nations Unies, initialement saisi par Alkarama le 30 octobre 2018, a reconnu la responsabilité de l’État marocain du fait des tortures subies par Mohamed Hajib à la suite de son arrestation et de sa condamnation pour de prétendus actes terroristes à dix ans de prison sur la seule base d’aveux extorqués sous la torture.

Au cours de sa 135ème session, qui s’est déroulée à Genève du 27 juin au 27 juillet 2022, le Comité des droits de l’homme des Nations Unies a conclu à la responsabilité de l’État algérien du fait de la disparition forcée de Boubekeur FERGANI dans les années 1990.

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