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Le Haut-Commissariat des droits de l'homme des Nations Unies a exprimé sa profonde inquiétude concernant la détérioration de la situation des droits de l'homme en Algérie et la répression continue et croissante des membres du mouvement pacifique appelant à la démocratie et à la promotion des libertés.

Pour Mohammed Dafar, la plage d’Al Aouana (wilaya de Jijel, petite ville côtière à l’est d’Alger)  enferme la douleur profonde infligée par la perte de son fils, Fateh Dafar, exécuté sommairement par la gendarmerie nationale.

Au cours de la 130ème session tenue entre le 12 octobre et le 6 novembre 2020, le Comité des droits de l’Homme de l’Organisation des Nations Unies (ONU) a reconnu la responsabilité de l’Algérie dans la disparition forcée de l’ancien officier de l’Armée de Libération Nationale (ALN), Sadek Rsiwi, arrêté à Ghardaïa en 1996 par des militaires et disparu depuis.


Deux expertes des Nations Unies ont exprimé leur déception face à l'absence de mesures et de sanctions des Etats-Unis d'Amérique après avoir publié les conclusions du rapport concernant l'assassinat du journaliste saoudien Jamal Khashoggi au consulat saoudien d'Istanbul en Turquie en octobre 2018, et ont demandé que les responsables soient tenus de rendre des comptes.

Des experts des Nations unies des droits de l'homme ont demandé à Washington de veiller à ce que les responsables des violations subies par les tristement célèbres détenus de "Guantanamo" soient punis et que les victimes soient compensées, tout en exprimant leur satisfaction face à l'annonce faite par le président américain Joe Biden de son intention de fermer le centre de détention.

Alkarama et un certain nombre d'organisations libanaises et internationales de défense des droits de l'homme ont soumis une pétition à la commission des droits de l'homme du Parlement, pour enquêter sur les violations commises contre des manifestants libanais arrêtés dans le cadre des récentes manifestations populaires à Tripoli.

Une experte indépendante des Nations unies a exprimé ses préoccupations concernant les mauvais traitements, pouvant s'apparenter à de la torture, infligés à trois défenseurs des droits de l'homme aux Émirats arabes unis et a exhorté les autorités à les libérer.

L'Organisation internationale de police criminelle (Interpol) a annulé un mandat d'arrêt émis contre l'éminent activiste maroco-allemand, Mohamed Hajib, à la suite des procédures d'appel soumises à l'instance internationale, qui a ainsi statué que M. Hajib n'avait fait qu'exerçer son droit  d'expression et d'opposition en tant que simple citoyen.
Le parquet marocain avait émis un mandat d'arrêt international contre M. Hajib, pour son opposition aux autorités marocaines.

Un rapport publié par le Comité des sanctions du Conseil de sécurité affirne que toutes les parties qu conflit au Yémen continuent de commettre de graves violations du droit international humanitaire et du droit international des droits de l'homme, y compris des attaques aveugles contre des civils, des disparitions forcées et des actes de torture.

Deux experts des droits de l'homme de l'ONU ont appelé Israël à cesser immédiatement d'utiliser les outils de sécurité militaire pour «faire obstacle au travail légitime des défenseurs des droits de l'homme». Cela fait suite à une décision du tribunal militaire israélien du 6 janvier 2021 de condamner le militant palestinien des droits humains Issa Amro pour six chefs d'accusation liés à ses activités en faveur des droits humains entre 2010 et 2016.