Alkarama s'inquiète du nombre croissant de cas de détentions arbitraires et de tortures qu'elle a reçu, ainsi que de l'application constante de la loi d'urgence sur les citoyens égyptiens, malgré la révolution de 2011 qui a vu le renversement du régime Moubarak.Alkarama a notamment appris l'existence de violations graves de droits de l'homme commises sur plus de 200 détenus de la prison de la Nouvelle Vallée. En protestation contre les mauvais traitements dont ils sont victimes, les détenus ont débuté une grève de la faim illimitée.