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M. Azdine Braik a été enlevé le 30 octobre 2010 dans la rue à Fès, MM. Abdellatif Kouibaat et Badr Kounine ont, quant à eux, été kidnappés le 27 octobre 2010 dans un lieu public à Casablanca. Tous trois ont été emmenés par des agents en civil vers une destination inconnue et ont disparu depuis. Leurs familles craignent qu'ils ne soient torturés.

M. Othmane Abdessamed Abdellahoum avait été enlevé le 16 octobre 2010 par des agents du Département du renseignement et de la sécurité (DRS) à Ain Al-Hadjel (wilaya de M'sila) et disparu. La famille a enfin pu lui rendre visite le 11 novembre 2010 à la prison de Bouira. Il portait les traces des tortures subies.

Alkarama avait adressé un appel urgent le 5 novembre 2010 au Groupe de travail sur les disparitions forcées ou involontaires, lui demandant d'intervenir auprès des autorités algériennes.
Alkarama a informé le Groupe de travail sur la détention arbitraire de l'emprisonnement depuis des mois voir depuis deux ans de cinq personnes au centre de détention des services de la sécurité politique (Al-Amn Assiyassi) à Sanaa sans qu'elles aient été présentées devant un magistrat ou aient été informées des charges retenues contre elles.

Cette communication a été adressée le 9 novembre 2010 à la Procédure spéciale la priant d'intervenir auprès des autorités yéménites afin que les cinq personnes soient libérées ou placées sous la protection de la loi.
Au cours de sa 187e session, le Conseil directeur de l'Union Interparlementaire (UIP) a adopté une résolution le 6 octobre 2010 concernant l'affaire du député irakien Mohammed Al-Dainy. Le Conseil affirme sans équivoque que M. Al-Dainy a été victime de persécutions injustes à cause de ses activités de défenseur des droits de l'homme et qu'il a été condamné à mort à l'issue d'une procédure qui « ne peut être qualifiée que de simulacre de justice ». L'UIP a appelé les autorités irakiennes à «cesser immédiatement ce jugement inique et à réhabiliter pleinement M. Al Dainy. ».
M. Othmane Abdellahoum a été enlevé le 16 octobre 2010 probablement par des agents relevant du département du renseignement et de la sécurité (DRS) à Ain Al Hadjel, wilaya de Msila. Il a disparu depuis.

Alkarama a adressé le 5 novembre 2010 un appel urgent au Groupe de travail sur la disparition forcée lui demandant d'intervenir auprès des autorités algériennes afin qu'il soit libéré ou placé sous la protection de la loi.
Le Comité des droits de l'homme a rendu publiques le 25 octobre 2010 ses conclusions suite à l'examen de la plainte soumise par Alkarama le 10 octobre 2007 concernant de multiples violations dont a été victime le Dr. Mohamed Hassan Boussedra. Ce dernier avait été arrêté en 1989, détenu arbitrairement, et victime à deux reprises de disparition forcée avant d'être libéré le 7 juin 2009. Il lui est toutefois à ce jour interdit de quitter Tripoli.
M. Rachid Kebli a été enlevé par des agents du département du renseignement et de la sécurité sur le lieu de son travail le 18 octobre 2010 vers 11h du matin et emmené vers une destination inconnue. Depuis, la famille n'a aucune nouvelle de lui.

Alkarama a adressé le 4 novembre 2010 un appel urgent au Groupe de travail sur la disparition forcée lui demandant d'intervenir auprès des autorités algériennes afin qu'il soit libéré ou placé sous la protection de la loi.

M. Adam Khalil Haouli, un réfugié soudanais de 37 ans résidant en Egypte depuis mai 2002, a été arrêté par les services de sécurité égyptiens le 30 décembre 2009 et brutalement torturé pendant quatre-vingt deux jours.

Le 4 novembre 2010, Alkarama a soumis son cas au Rapporteur spécial sur la torture pour qu'il intervienne auprès des autorités égyptiennes afin qu'elles ordonnent l'ouverture d'une enquête complète et impartiale dans le but d'établir les faits et de poursuivre les responsables des tortures subies par M. Haouli.

Dr. Sadok Chourou, ancien président du mouvement politique tunisien Al Nahdha, détenu arbitrairement depuis presque 20 ans a été libéré le 30 octobre 2010. Il avait été arrêté le 3 décembre 2008 alors qu'il venait tout juste d'être libéré le 5 novembre après 18 ans de détention.
Le Comité des droits de l’homme a examiné le quatrième rapport périodique de la Jordanie (CCPR/C/JOR/4) les 13 et 14 octobre 2010 et le 26 octobre 2010, il a adopté les observations finales.
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