17 juin 2009
M. Ammar Al Sttof, de nationalité syrienne, infirmier, a été arrêté, probablement par des forces de sécurité syriennes, à Beyrouth, en 1993 et a disparu depuis.
Alkarama a présenté le 9 juin 2009 une communication au Groupe de travail sur la disparition forcée le priant d'intervenir auprès des autorités syriennes afin que celles-ci dévoilent enfin à la famille le sort réservé à M. Al Sttof, disparu depuis 16 ans.
Mr Ammar Al Sttof, né en 1975, avait achevé sa formation d'infirmier à Hama en Syrie et vivait au Liban où il poursuivait une autre formation tout en travaillant dans le bâtiment. Il était domicilié sur son lieu de travail à Beyrouth.
Le 14 octobre 1993, alors qu'il se trouvait dans sa chambre, des forces de sécurité identifiées comme étant des agents des services de renseignements syriens se sont introduits chez lui et l'ont enlevé. Depuis, il n'a plus réapparu.
Sa famille et ses amis ont entrepris toutes les démarches possibles pour le localiser, ils ont contacté les autorités libanaises et syriennes, en vain. Leurs recherches auprès des services de renseignements et la police libanais de même qu'au niveau du siège des services de renseignements syriens à Anjar sont restées infructueuses.
Il y a environ un an et demi, le père de Ammar Al Sttof a contacté le comité national des disparus syriens au Liban qui se situe à Anjar. Les membres de cette institution officielle ne semblaient pas être intéressés par ce dossier. Ils ont toutefois promis de le contacter. M. Al-Sttof qui leur a laissé les informations dont il disposait à propos de son fils, n'a plus eu de leurs nouvelles depuis.
Nous rappelons que l'Etat syrien a ratifié le Pacte international relatif aux droits civils et politiques le 21 avril 1969 et la Convention contre la torture le 19 août 2004. Le rapport périodique syrien doit être examiné par le Comité contre la torture durant sa 44e session qui aura lieu du 26 avril au 14 Mai 2010.
Alkarama a présenté le 9 juin 2009 une communication au Groupe de travail sur la disparition forcée le priant d'intervenir auprès des autorités syriennes afin que celles-ci dévoilent enfin à la famille le sort réservé à M. Al Sttof, disparu depuis 16 ans.
Mr Ammar Al Sttof, né en 1975, avait achevé sa formation d'infirmier à Hama en Syrie et vivait au Liban où il poursuivait une autre formation tout en travaillant dans le bâtiment. Il était domicilié sur son lieu de travail à Beyrouth.
Le 14 octobre 1993, alors qu'il se trouvait dans sa chambre, des forces de sécurité identifiées comme étant des agents des services de renseignements syriens se sont introduits chez lui et l'ont enlevé. Depuis, il n'a plus réapparu.
Sa famille et ses amis ont entrepris toutes les démarches possibles pour le localiser, ils ont contacté les autorités libanaises et syriennes, en vain. Leurs recherches auprès des services de renseignements et la police libanais de même qu'au niveau du siège des services de renseignements syriens à Anjar sont restées infructueuses.
Il y a environ un an et demi, le père de Ammar Al Sttof a contacté le comité national des disparus syriens au Liban qui se situe à Anjar. Les membres de cette institution officielle ne semblaient pas être intéressés par ce dossier. Ils ont toutefois promis de le contacter. M. Al-Sttof qui leur a laissé les informations dont il disposait à propos de son fils, n'a plus eu de leurs nouvelles depuis.
Nous rappelons que l'Etat syrien a ratifié le Pacte international relatif aux droits civils et politiques le 21 avril 1969 et la Convention contre la torture le 19 août 2004. Le rapport périodique syrien doit être examiné par le Comité contre la torture durant sa 44e session qui aura lieu du 26 avril au 14 Mai 2010.