Aller au contenu principal

Le 17 Octobre 2014, Alkarama a saisi en urgence le Groupe de Travail des Nations Unies sur les disparitions forcées du cas de Mohamed Abdulhamid Ali, un égyptien de 32 ans disparu depuis son enlèvement par les forces de la sécurité nationale, le 24 septembre dernier.

Le 24 septembre 2014, Alkarama et l'Assemblée humanitaire Al Wissam se sont adressés au Groupe de travail sur les disparitions forcées (GTDFI) concernant le cas de Jamal Al Abdulkareem Kazar Al Zabidi, président de la Fédération de Taekwondo et membre du Comité olympique irakien, enlevé par les services de sécurité irakiens le 15 juillet 2006 lors d'une réunion du Comité olympique au centre culturel de Bagdad.

Le 1er octobre 2014, Alkarama a saisi les procédures spéciales des Nations Unies d'un appel urgent sur la situation de Rawda Jamal Abd Al Azzem, une étudiante de 18 ans, arrêtée par la police égyptienne le 28 décembre 2013, à Nasr City.

Les 8 et 9 octobre 2014, Alkarama a exposé ses principales recommandations aux missions permanentes des États membres des Nations Unies, en vue du deuxième Examen Périodique Universel de l'Égypte, qui aura lieu le 5 novembre 2014.

Le 23 septembre 2014, Alkarama a adressé un appel urgent au Rapporteur spécial de l'ONU sur la torture concernant le cas d'Ahmed Rashad, un adolescent de 15 ans arrêté le 16 mai 2014 à la suite de sa participation à une manifestation pacifique dans la ville de Zagazig, dans le sud de l'Egypte.

Les 8 et 9 octobre 2014, Alkarama a informé les représentants de plusieurs délégations de ses recommandations prioritaires en vue de l'Examen Périodique Universel (EPU) de l'Irak, qui se tiendra à Genève le 3 novembre prochain.

Le 8 octobre 2014, Alkarama a adressé un appel urgent au Groupe de travail sur la détention arbitraire (GTDA) des Nations Unies au sujet du cas de Mohamed Morsi, l'ancien président égyptien déchu par un coup d'Etat militaire le 3 juillet 2013, et de son directeur de cabinet, Mohamed Rifaat Al Tahtawi. Ces deux derniers n'ont pas comparu à leurs audiences des 27 et 29 septembre dernier pour des prétendus motifs de « sécurité » invoqués par les autorités pour justifier leur absence.

En collaboration avec l'Assemblée humanitaire Al Wissam, Alkarama a adressé une communication au Groupe de Travail sur les Disparitions Forcées ou Involontaires (GTDFI) des Nations Unies pour signaler la disparition de Mohammed Al Aseymi et de quatre autres membres de sa famille depuis leur enlèvement par une milice pro- gouvernementale en 2006.

S'abonner à