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Le Comité des droits de l’homme (CDH) des Nations Unies a adopté fin mars une liste de questions à l’attention du gouvernement du Maroc, après que celui-ci ait soumis son rapport périodique avec un retard de sept années.

Un groupe de personnes se tient debout sur deux rangsLes 7 et 8 mars derniers, le Comité des disparitions forcées (CDF) des Nations Unies a évalué les mesures prises par la Tunisie pour mettre en œuvre

Alkarama vient de soumettre au Comité contre la torture (CAT) son rapport en vue de l’examen de la Tunisie par celui-ci, prévu les 20 et 21 avril prochain.

La famille d’Adnane Rahali, étudiant en troisième année de droit à l’Université Ibn Zohr d’Agadir, est sans nouvelle de lui depuis le 17 décembre 2015. Originaire de Tantan – ville située à proximité du Sahara occidental –Adnane Rahali était très impliqué dans la vie associative de son université. Selon ses amis, celui-ci a été interpellé par des personnes en civil le soir du 17 décembre dans l’enceinte de l’université ; il n’a plus été revu depuis.

Le 16 mars dernier, l’examen périodique universel (EPU)* de la Mauritanie a pris fin, avec l'adoption du rapport énonçant les recommandations que le pays accepte de mettre en œuvre pour améliorer la situation des droits humains sur son territoire. Parmi les 200 recommandations formulées par les États membres des Nations Unies participant à cet examen, la Mauritanie a indiqué en avoir accepté 140 et « pris note » des 60 autres.

Du 7 au 8 mars 2016 s’est tenu l’examen initial de la Tunisie par le Comité des disparitions forcées (CDF) des Nations Unies dans le cadre de sa 10ème session.

Le 12 février 2016, Alkarama a soumis son rapport au Comité des disparitions forcées (CDF) des Nations Unies dans le cadre de l'examen initial de la Tunisie qui se tiendra à

Le 15 novembre 2015, la police a arrêté Adel Ayachi et Tijani Ben Derrah, deux bloggeurs et militants des droits de l'homme qui avaient participé la veille à une manifestation pacifique pour la liberté d'expression. Presque trois mois plus tard, les deux activistes sont toujours détenus à la prison d'El Harrach, dans la banlieue d'Alger dans l'attente de leur procès.

Le 29 janvier 2016, Alkarama a saisi les experts du Comité des Nations Unies contre la Torture (CAT) du cas de Lakhdar Guellil. Arrêté par les gendarmes le 31 juillet 1996, ce chauffeur de taxi de la ville de Djelfa située 300km au sud d'Alger, avait été accusé de ne pas avoir dénoncé des passagers qu'il avait transportés vers la ville voisine d'Aïn Oussera quelques semaines auparavant, apparemment recherchés pour terrorisme.

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