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Depuis sa création en 2004, Alkarama a soumis de nombreux cas de personnes sujettes à de longues périodes de détention arbitraire, de torture et de mauvais traitements aux procédures spéciales de l'ONU, notamment au Groupe de travail sur la détention arbitraire (GTDA). Jusqu'à présent, tous les cas soumis au GTDA ont conduit à des avis favorables, indiquant la nature arbitraire des détentions.

Un groupe d'experts internationaux des droits de l'homme de l'ONU a condamné la peine de prison prononcée contre le journaliste et défenseur des droits humains algérien Khaled Drareni, qui est devenu un symbole de la liberté de la presse dans son pays. Dans un communiqué, les experts ont appelé les autorités algériennes à annuler la condamnation et à le libérer immédiatement.

Un Groupe d'experts internationaux des Nations Unies sur le Yémen  a déclaré qu'il existait des preuves crédibles que l'Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, les Houthis, le gouvernement yéménite et le Conseil de transition du Sud ont commis des crimes de guerre et d'autres violations au Yémen.

« Si vous n’êtes pas vigilants, les journaux arriveront à vous faire détester les gens opprimés et aimer ceux qui les oppriment. 

À la suite des réformes du Code pénal introduites par l’adoption de la loi n° 20-06 du 28 avril 2020, Alkarama a demandé à plusieurs experts indépendants de se saisir conjointement de la situation des droits et libertés fondamentales en Algérie qui ne cessent de se dégrader depuis l’avènement du Hirak en février 2019.

Alkarama a appris que, dimanche 29 août 2020, les autorités saoudiennes ont libéré le prédicateur yéménite Abdulaziz Al-Zubairi,qui avait subi la disparition forcée et trois mois de détention.
Le 29 juin, Alkarama a écrit au Groupe de travail des Nations Unies sur les disparitions forcées au sujet de M. Al-Zubairi, qui a été arrêté à sa résidence de la Mecque le 20 mai 2020.

Le 4 septembre 2020, Alkarama a saisi la Haut-Commissaire aux droits de l’homme des Nations Unies, Michelle Bachelet, suite à la campagne de désinformation et de dénigrement menée par les autorités officielles à travers l’APS (Algérie Presse Service) et l’ENTV (Établissement Public de Télévision, la chaine officielle de l’État algérien).

Un groupe d'experts indépendants des Nations Unies sur les droits de l'homme a mis en garde contre les risques «graves et inutiles» auxquels sont confrontés les défenseurs des droits de l'homme arrêtés en Égypte en raison d'une détention provisoire prolongée. Les experts ont déclaré, dans un communiqué de presse, que les risques sont les plus évidents pendant la pandémie de Covid-19, et ont appelé les autorités à faciliter la libération des détenus souffrant de maladies chroniques ou détenus sans base légale adéquate. 

Le 14 novembre 2017, Alkarama a soumis au Comité des disparitions forcées un appel urgent concernant le cas de Mounir Al Jabouri. Il a été arrêté le 14 avril 2014, avec deux de ses cousins par des membres de la 17e division de l'armée irakienne. Tous les efforts de la famille d’Al Jabouri pour le localiser au fil des ans sont restés vains.

Les autorités égyptiennes ont confirmé le 13 août 2020 que le leader politique et membre des Frères musulmans, le Dr Essam Al-Aryan, était décédé dans sa cellule de la tristement célèbre prison d'Al-Aqrab à la suite d'une crise cardiaque. Al-Aryan a été arrêté à l'aube du mercredi 30 octobre 2013, à la suite du coup d'État militaire mené par l'armée égyptienne dirigée par Abdel Fattah El-Sissi, qui a renversé le président élu, Mohamed Morsi.

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