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Dans le cadre du deuxième examen périodique de la Mauritanie par le Comité contre la torture (CCT), Alkarama a soumis le 26 juin 2017 sa contribution à la Liste de questions préparée par les experts du Comité.

Le 24 octobre 2016, après trois mois de détention arbitraire, les autorités djiboutiennes ont libéré Abdi Aden Cheik Ali, citoyen djiboutien qui avait été arrêté le 20 juillet 2016 suite à la publication d'une vidéo dénonçant la pénurie d'eau dans la région. Une fois relâché, il a rapporté avoir été détenu dans des conditions particulièrement difficiles.

À l'occasion du septième anniversaire de la création de l'Association saoudienne pour les droits civils et politiques (ACPRA), Alkarama lance une campagne de plaidoyer de 11 jours pour sensibiliser la communauté internationale à la pratique systématique de la détention arbitraire en Arabie Saoudite – où les autorités poursuivent quiconque ose critiquer le gouvernement – et pour mettre en lumière la répression et le harcèlement continus des 11 membres d'ACPRA pour leur activisme pacifique en faveur des droits humains.

Le 21 octobre 2016, Alkarama a envoyé aux experts du Groupe de travail sur la détention arbitraire (GTDA) de nouveaux éléments d'information concernant M. Ali Aarrass, détenu au Maroc depuis 2008 et condamné sur la seule base d'aveux obtenus sous la torture.

Le 19 octobre 2016, un groupe de sept experts* des droits de l'homme des Nations Unies a émis un communiqué de presse afin d'exprimer « sa grave préoccupation » quant à la situation des militants de l'Initiative de Résurgence du Mouvement Abolitionniste (IRA Mauritanie) « emprisonnés en raison de leur rôle présumé dans une manifestation contre les expulsions forcées à Nouachkott » et « ciblés par le gouvernement pour leur plaidoyer anti-e

Le 5 octobre 2016, Alkarama a soumis au Rapporteur spécial des Nations Unies sur la situation des défenseurs des droits de l'homme (SR HRD) une communication concernant la condamnation de 13 militants de l'ONG mauritanienne de lutte contre l'esclavage, l'Initiative pour la résurgence du mouvement abolitionniste (IRA), MM.

Le 6 octobre 2016, Alkarama a transmis au Groupe de travail sur la détention arbitraire (GTDA) des Nations Unies le cas de M. Yaya Cissé, ressortissant malien détenu arbitrairement en Mauritanie depuis plus de quatre ans et condamné à mort sur la base d'aveux obtenus sous la torture.

Le 7 septembre 2016, Alkarama a soumis au Comité des droits de l'homme (CDH) des Nations Unies, le cas de Sadek Rsiwi, un ancien combattant de l'Armée Nationale de Libération (ALN) et père de huit enfants, disparu depuis 1996 après avoir refusé de prendre la tête d'une milice armée locale à la demande du Département du Renseignement et de la Sécurité (DRS), refusant ainsi de s'impliquer dans la guerre civile qui a fait suite au coup d'état militaire de janvier 1992.

À partir de cette année, la Fondation Alkarama renonce à sa cérémonie annuelle du Prix Alkarama pour les Défenseurs des Droits de l'Homme dans le Monde arabe pour prendre des actions plus concrètes pour les soutenir, dans l'espoir d'obtenir plus d'impact dans la protection et la promotion des droits de l'homme dans le Monde arabe, en prenant en compte les obstacles spécifiques à la région.

Le 30 septembre 2016, Alkarama a saisi en urgence le Groupe de travail sur les disparitions forcées et involontaires (GTDFI) des Nations Unies du cas de 20 défenseurs des droits de l'homme et membres de familles de disparus violemment interpellés la veille par la

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