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Le 3 novembre 2015, Alkarama a assisté au deuxième cycle d'Examen périodique universel (EPU) de la Mauritanie qui s'est tenu au Conseil des droits de l'homme (CDH) à Genève.

Le 5 novembre 2015, Alkarama a adressé une communication au Rapporteur spécial sur la promotion de la vérité, de la justice, de la réparation et des garanties de non-répétition (SR Truth) pour l'informer que les proches de Nasreddine et Messaoud Fedsi – tous deux arrêtés et sommairement exécutés par la police de Taher le 19 avril 1997 – se heurtent toujours à la passivité des autorités judicaires algériennes.

Le rapport d'Alkarama documente les centaines des cas de mort en détention des suites de torture, de déni de soins médicaux et de mauvaises conditions de détention.

Lors de sa dernière session qui s'est tenue du 27 juillet au 14 août 2015, le Comité contre la torture (CAT) des Nations Unies a rendu ses conclusions sur la plainte soumise par Alkarama relative aux actes de tortures infligés par les services du Département du renseignement e

Le 28 octobre 2015, Alkarama a adressé une communication au Rapporteur spécial sur la promotion de la vérité, de la justice, de la réparation et des garanties de non-répétition (SRTruth) pour l'informer des persécutions judiciaires visant les proches de Tahar et Bachir Bourefis

Le 15 octobre 2015, Alkarama a pris part à un briefing de pré-session organisé par la délégation de l'Union européenne auprès des Nations Unies, en vue de la 23ème session de l'examen périodique universel (EPU) de la Mauritanie qui aura lieu entre le 2 et 13 novembre 2015.

Le 11 octobre 2015 , la Cour d'Appel de Djibouti a accepté la demande de libération des jeunes partisans de l'Union pour le Salut National (USN) – la coalition de l'opposition – et du Mouvement des Jeunes de l'Opposition (MJO), ainsi que des deux responsables USN, arrêtés le 18 septembre pour avoir participé à une manifestation et arbitrairement détenus depuis le 4 octobre au sein de la prison de Gabode à la suite d'un procès en première instance.

Le 20 octobre dernier, la Cour de cassation de Doha a confirmé la peine de 15 années d'emprisonnement prononcée par la cour d'appel en janvier 2013 à l'encontre du poète qatari Mohamed Al-Ajami (alias Ibn Al- Dib).Ce dernier est détenu depuis 2011 uniquement pour avoir exercé son droit à la liberté d'expression – il a été inculpé pour « incitation à renverser le régime » et d' « outrage à l'Emir ». Son avocat, Me Najeeb Al-Nuaimi, n'a pas manqué de dénoncer les irrégularités dont a été entaché son procès et les accusations sans fondement qui ont été portées à son encontre.

Lors de sa neuvième session qui s'est tenue du 7 au 18 septembre, le Comité des disparitions forcées (CED) a adopté une liste de 25 questions qui seront discutées lors de l'examen initial de la Tunisie par le Comité en mars 2016.

Le 9 octobre 2015, Alkarama a soumis au Rapporteur spécial sur la promotion et la protection des droits de l'homme et des libertés fondamentales dans la lutte antiterroriste (SR TERROR) une communication l'appelant à intervenir dans le cas d'Ali Attar, arbitrairement détenu depuis son arrestation sans mandat de justice en février 2015.

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