Sa famille s'est rendue depuis aux ambassades du Canada et du Koweït pour essayer d'obtenir des informations sur ce qui lui est arrivé. Les autorités bahreïnies ont fini par leur dire qu'il était porté « disparu ». En réalité, il a été arrêté par la police. Sa famille craint que son état de santé ne se détériore rapidement étant donné qu'il doit prendre un traitement médical de manière régulière.
Le 8 avril 2011, Alkarama a soumis son cas en urgence au Groupe de travail sur les disparitions forcées de l'ONU afin qu'il appelle les autorités bahreïnies à ordonner la libération de Nasser Al-Raas. S'il n'est pas libéré, les autorités devraient informer la famille sur son lieu de détention et le placer sous la protection de la loi.