En avril et mai 2016, Alkarama a saisi officiellement plusieurs procureurs algériens pour les appeler à ouvrir des enquêtes sur des crimes commis au plus fort de la guerre civile algérienne, et notamment dans les cas de la disparition forcée de Lakhdar Bouzenia, Maamar Ouaghlissi, Tahar et Bachir Bourefis ainsi que l'assassinat par le chef de Daira de Taher des frères Nasreddine et Messaoud Fedsi.