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Le 26 août 2025, Alkarama a déposé une plainte individuelle auprès du Comité des droits de l’homme des Nations Unies (CCPR) à Genève au nom de Mme Nawal Kara Bouslama, cheffe d’entreprise franco-algérienne. Cette démarche a pour objet de dénoncer des violations graves et répétées de ses droits fondamentaux en Algérie, directement liées à des pratiques de corruption étatique. 

Victime de représailles pour avoir refusé la corruption 

Le rapport annuel récemment publié par le Secrétaire général de l’ONU sur le terrorisme et les droits de l’homme a abordé de nombreuses questions soulevées par Alkarama dans sa contribution soumise dans le cadre de ses préoccupations auprès des mécanismes onusiens des droits de l’homme. 

Le rapport annuel du Secrétaire général des Nations Unies sur l’intimidation et les représailles visant les personnes coopérant avec l’ONU, récemment publié, a confirmé les observations d’Alkarama concernant la hausse des actes de répression et de représailles transnationales à l’encontre d’organisations et d'individus en exil ou installés dans des pays tiers en raison de leur collaboration avec les Nations Unies.

Le 16 octobre 2025, Alkarama a saisi le Groupe de travail de l’ONU sur la détention arbitraire (GTDA) au sujet de Mme Saida EL ALAMI, blogueuse et militante marocaine engagée dans la protection des droits humains. Active sur les réseaux sociaux, Mme EL ALAMI dénonce régulièrement les violations des droits fondamentaux et commente l’actualité politique et sociale du Maroc. 

Dans un rapport de suivi adressé au Groupe de travail des Nations Unies sur la détention arbitraire (GTDA), Alkarama a dénoncé l’inaction persistante de la Libye et de l’Arabie saoudite quant à la mise en œuvre des avis rendus entre 2023 et 2025 concernant plusieurs cas de détention arbitraire. 

Selon des sources en défense des droits humains, les autorités saoudiennes envisagent de rejuger l’avocat Mohammed Saleh Al-Bajadi, malgré qu’il ait terminé de purger sa peine en 2023.

Le 2 octobre, le monde célèbre la Journée internationale de la non-violence, adoptée par l’Assemblée générale des Nations Unies dans sa résolution 61/271 du 15 juin 2007, afin de promouvoir une culture de paix, de tolérance, de compréhension et de non-violence.

Les organisations signataires expriment leur vive indignation et rejettent fermement l’opération menée, dans la soirée du mardi 1er octobre, par les forces d’occupation israéliennes, qui ont intercepté et retenu de force des navires civils de la « Flottille de la Résilience » alors qu’ils naviguaient en eaux internationales. Ces embarcations se dirigeaient vers la bande de Gaza dans le cadre d’une mission humanitaire destinée à briser le blocus, transportant à leur bord près de 500 militants originaires de plus de cinquante pays. 

Alkarama et l’Association des victimes de la torture en Tunisie (AVTT) ont soumis une plainte conjointe au Groupe de travail sur la détention arbitraire (GTDA) de l’ONU concernant M. Noureddine BHIRI, avocat, ancien député et ancien ministre tunisien de la Justice, détenu pour des motifs politiques depuis son arrestation le 13 février 2023. 

Le 21 septembre 2025 marque la Journée internationale de la paix instaurée par la résolution 55/282 de l’Assemblée générale des Nations Unies (7 septembre 2001) consacrée à la cessation des hostilités dans le monde, au rejet de la violence et à la promotion d’une culture de paix fondée sur l’éducation, la sensibilisation et la coopération internationale.