15 juin 2010
M. Abdelhamid Al-Jaishi a été arrêté à la porte du domicile familial le 13 décembre 2009 par plusieurs agents des services de la sécurité politique (al-amn al-siyassi) qui l'ont emmené à une destination inconnue et qui depuis nient le détenir.
Alkarama a adressé le 14 juin 2010 une communication au Groupe de travail sur les disparitions forcées lui demandant d'intervenir auprès des autorités yéménites afin que M. Al-Jaishi soit libéré ou placé sous la protection de la loi.
M. Abdelhamid Mohamed Abdellah AL-JAISHI, âgé de 20 ans, célibataire, employé, résidant à Sanaa, a été arrêté à la porte du domicile familial le 13 décembre 2009 vers 15 heures par plusieurs agents des services de la sécurité politique (al-amn al-syassi) en civil. Aucun mandat d’arrêt ne lui a été présenté et il n'a pas été informé des raisons de son arrestation.
Sa famille a immédiatement cherché à connaître les motifs de cette arrestation et le sort qui allait lui être réservé. Les parents se sont en effet adressés dès le lendemain aux différentes autorités locales et ont notamment déposé une plainte pour enlèvement auprès du Procureur général de Sanaa le 10 janvier 2010.
Ils se sont également adressés à plusieurs reprises aux services de sécurité du quartier qui, à ce jour, continuent de nier la détention de leur fils.
Nous rappelons que le Comité contre la torture, dans ses observations finales suite à l'examen du deuxième rapport périodique du Yémen au mois de mai 2010, a recommandé à l'Etat partie de « prendre toutes les mesures nécessaires pour lutter contre les disparitions forcées et la pratique des arrestations massives sans mandat et des détentions arbitraires sans inculpation ni procédure judiciaire. »
Alkarama a adressé le 14 juin 2010 une communication au Groupe de travail sur les disparitions forcées lui demandant d'intervenir auprès des autorités yéménites afin que M. Al-Jaishi soit libéré ou placé sous la protection de la loi.
M. Abdelhamid Mohamed Abdellah AL-JAISHI, âgé de 20 ans, célibataire, employé, résidant à Sanaa, a été arrêté à la porte du domicile familial le 13 décembre 2009 vers 15 heures par plusieurs agents des services de la sécurité politique (al-amn al-syassi) en civil. Aucun mandat d’arrêt ne lui a été présenté et il n'a pas été informé des raisons de son arrestation.
Sa famille a immédiatement cherché à connaître les motifs de cette arrestation et le sort qui allait lui être réservé. Les parents se sont en effet adressés dès le lendemain aux différentes autorités locales et ont notamment déposé une plainte pour enlèvement auprès du Procureur général de Sanaa le 10 janvier 2010.
Ils se sont également adressés à plusieurs reprises aux services de sécurité du quartier qui, à ce jour, continuent de nier la détention de leur fils.
Nous rappelons que le Comité contre la torture, dans ses observations finales suite à l'examen du deuxième rapport périodique du Yémen au mois de mai 2010, a recommandé à l'Etat partie de « prendre toutes les mesures nécessaires pour lutter contre les disparitions forcées et la pratique des arrestations massives sans mandat et des détentions arbitraires sans inculpation ni procédure judiciaire. »