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Le 24 novembre 2014, Alkarama a adressé un appel urgent au Rapporteur spécial sur la liberté d'expression à la suite de l'arrestation arbitraire d'Abdellah Benaoum poursuivi et déféré devant le tribunal de Relizane pour avoir dénoncé les mesures discriminatoires prises par le recteur de l'université de la ville contre certains étudiants de la faculté de droit.

Le 17 novembre 2014, Alkarama a saisi en urgence le Groupe de travail des Nations Unies sur les disparitions forcées et involontaires (GTDFI) du cas de Yasser Ahmed Ahmed Abu Eita, un jeune égyptien de 23 ans violemment battu dans les rues du port de Damiette avant d'être arrêté par les forces de police. Il est porté disparu depuis et sa famille craint qu'il ne soit soumis à la torture.

Le 22 octobre 2014, Alkarama et AFD International ont saisi le Groupe de Travail des Nations Unies sur la détention arbitraire (GTDA) du cas du Dr Mohamed Abdelhamid Abdelhamid Kharaba, un professeur d'université détenu arbitrairement dans la prison Al-Hadra d'Alexandrie depuis son arrestation le 24 novembre 2013.

Lors de sa 111ème session qui s'est tenue à Genève du 7 au 11 juillet 2014, le Comité des droits de l'homme des Nations Unies a rendu sa décision dans l'affaire de l'arrestation suivie de la disparition de Lakhdar Bouzenia, député du Front Islamique du Salut (FIS) de Chefka, dans la wilaya de Jijel, située sur la côte au nord-est de l'Algérie.

A l'occasion de la 24ème session du Sous-comité des Nations Unies pour la prévention de la torture qui se tiendra à Genève du 17 au 21 novembre, Alkarama appelle les experts de l'ONU à entreprendre une visite en Tunisie où la question de la torture reste une préoccupation majeure, malgré la volonté politique affichée des autorités à lutter contre les violations des droits de l'homme persistantes dans le pays.

Le Groupe de Travail sur la Détention Arbitraire (GTDA) des Nations Unies a rendu un avis au cours de sa 69ème session concernant la détention arbitraire de Shawki Ahmad Omar, appelant le gouvernement irakien à le libérer. Alors qu'il était venu en 2004 où il comptait s'installer, il a été arrêté et accusé à tort « d'entrée illégale en Irak » sous le prétexte d'être palestinien.

Le 30 octobre 2014, Alkarama a saisi le Groupe de travail des Nations Unies sur la détention arbitraire du cas des deux frères, Mohammed et Kamal Al Shatbi, arbitrairement privés de leur liberté depuis leur arrestation sans mandat de justice les 25 et 27 septembre 2002.

Mohamed, 41 ans, et Kamal, 33 ans, ont été détenus au secret au centre de Témara, aujourd'hui fermé par les autorités, où ils ont été torturés pendant 50 jours pour leur faire avouer des crimes imaginaires.

Le 13 novembre 2014, Alkarama a saisi le Rapporteur spécial des Nations Unies sur la situation des défenseurs des droits de l'homme, M. Michel Forst, pour qu'il appelle les autorités syriennes à assurer la libération immédiate de deux défenseurs syriens des droits de l'homme, Jadia Abdallah Nawfal et Omar Al Shaar, disparus après leur arrestation à la frontière libanaise syrienne le 31 octobre.

Le 3 novembre 2014, le deuxième Examen périodique universel (EPU) de l'Irak s'est tenu au Palais des Nations à Genève. Ce processus vise à évaluer, tous les quatre ans, la situation des droits de l'homme dans chaque État membre des Nations Unies par le Conseil des droits de l'homme (CDH).

Le 5 novembre 2014 s'est tenu au Palais des Nations de Genève le deuxième Examen périodique universel (EPU) de l'Égypte. Ce processus vise à l'examen, par le Conseil des Droits de l'Homme des Nations Unies, de la situation des droits de l'homme dans chaque État membre. Depuis le premier examen de l'Égypte en février 2010, le pays a connu des bouleversements politiques majeurs.

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