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En abordant la question de la violence envers les femmes dans le monde arabe, Alkarama souligne un type de violence fréquemment ignoré par de nombreuses organisations de défense des droits humains : celle commise ou tolérée par l'État à l'encontre de ses citoyennes.

Alkarama, en collaboration avec 21 organisations de défense des droits humains, a lancé un appel urgent pour protéger l'avenir des enfants au Yémen. Elles ont mis en lumière les défis graves auxquels ces enfants sont confrontés, tels que la violence, le recrutement forcé, les abus sexuels et la privation d'aide humanitaire.

Le 7 novembre 2024, Alkarama a soumis au Comité des droits de l'homme des Nations Unies (CdH) le cas de M. Tidjani AMRI, journaliste d'investigation, enlevé le 27 mai à Tébessa et emmené au centre de Ben-Aknoun où il a été torturé jusqu’au 4 juin 2019 par les militaires. 

Un rapport émanant du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme indique que, d'après la vérification des identités des victimes décédées lors de l'offensive israélienne sur Gaza, environ 70 % des pertes humaines recensées sont constituées de femmes et d'enfants. 

L'Irak, partie à la Convention internationale pour la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées depuis le 23 novembre 2010, est appelé à agir pour retrouver les victimes de disparitions forcées et apporter des réponses concrètes aux familles en quête de vérité et de justice. 

Le 2 novembre, le monde a célébré la Journée internationale pour mettre fin à l'impunité des crimes contre les journalistes, alors que l'occupation israélienne continue sans relâche sa guerre contre les journalistes et les journalistes dans la bande de Gaza et les territoires palestiniens occupés. 

Aujourd'hui, alors que le monde célèbre la "Journée internationale pour mettre fin à l'impunité des crimes contre les journalistes", les journalistes yéménites font face à une situation extrêmement difficile, endurant violence, intimidation et assassinats en raison de leurs opinions et de leurs expressions. L'impunité dont bénéficient les auteurs de ces actes exacerbe encore ces violations.

Alkarama rappelle la possibilité de recourir aux juridictions universelles à l’encontre des responsables irakiens impliqués dans les exécutions arbitraires collectives, dont la fréquence a récemment augmenté. 

Les autorités irakiennes ont récemment procédé à l'une des plus grandes vagues d'exécutions depuis 2003, en remettant en septembre les corps d'au moins 50 détenus exécutés par pendaison dans la prison centrale de Nasiriyah, au sud du pays. 

Dans un avis en date du 20 septembre 2024, le Groupe de travail des Nations Unies (GTDA) sur la détention arbitraire a reconnu le caractère arbitraire de la privation de liberté d’Abdurrahman Abduljalil Mohamed AL FARJANI, jeune libyen arrêté le 27 décembre 2014 à son domicile dans le quartier d'Al Lithi par une milice armée affiliée à Khalifa Haftar. 

Le 11 octobre 2024, Alkarama a soumis son rapport dans le cadre du quatrième examen périodique universel (EPU) du Koweït qui se tiendra au cours de la 49ème session (28 avril et 9 mai 2025) à Genève.

Le rapport d'Alkarama met en lumière des violations persistantes des droits humains exacerbées par la crise politique et institutionnelle en cours. 

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