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Le Comité des disparitions forcées des Nations Unies a appelé le gouvernement irakien à clarifier le sort de Hasan Mohamed Hasan AL ESSA, Yahya AL JABOURI et Dawood Salman Hasan Haboush Hassan AL ISSAWI, tous disparus à la suite de leurs arrestations arbitraires au cours des années 2014 et 2015.

Dawood Salman Hasan Haboush Hassan Al Issawi, arrêté par une milice Chiite

Liban 6 février 2023 - Le 6 février a été déclaré Journée mondiale d’action commémorative pour les morts, les disparus et les disparus forcés en mer et aux frontières.

À l’issue de sa visite en Libye, la Mission indépendante d’établissement des faits des Nations unies sur la Libye a souligné qu’il incombait aux autorités libyennes de prendre des mesures décisives pour rendre justice et indemniser les nombreuses victimes qui subissent depuis longtemps des violations des droits humains et du droit international humanitaire dans le pays.

La Cour d'appel saoudienne a, à titre de représailles, doublé les peines d'emprisonnement de plusieurs proches de l'éminent prédicateur Safar bin Abdulrahman AL HAWALI pour avoir réfuté les accusations et refusé l’injustice subie.

Selon des sources saoudiennes de défense des droits humains, la Cour d'appel a décidé d'alourdir la peine prononcée à l'encontre de Saadallah Al Hawali, frère du Dr Safar Al Hawali, de 4 à 14 ans.

Le 17 janvier 2023, Alkarama s'est adressée au Groupe de travail des Nations Unies sur la détention arbitraire concernant la condamnation à la prison à vie de l’ancien président des Comores, M. Ahmed Abdallah Mohamed SAMBI suite à son arrestation en 2018.

Une arrestation arbitraire pour « menace à l’ordre public ». 

Le 26 décembre 2022, Alkarama s'est jointe à plusieurs organisations de la société civile libanaise pour saisir le Sous-comité de l'ONU pour la prévention de la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants (SPT) ainsi que plusieurs titulaires de mandats au titre procédures spéciales pour demander une action urgente concernant la situation à la prison de Roumieh et dans d'autres centres de détention libanais.

Le Dr Abdul Rahman Al-Hamid, militant des droits de l'homme et membre de l'Association pour les droits civils et politiques "ACPRA", a été libéré par les autorités saoudiennes après avoir purgé neuf ans d'emprisonnement prononcé à l'issue d'un procès inéquitable en raison de son activisme pacifique. Il reste cependant sous le coup d'une interdiction de voyager pendant encore neuf ans.

Alkarama a appris que les autorités saoudiennes ont libéré l’universitaire Abdulkareem Al-Khodr, après qu’il ait passé 10 ans derrière les barreaux dans le cadre d’un procès inéquitable, pour avoir exercé son droit à l’opinion.

Alkarama avait précédemment soumis son cas ainsi que celui de plusieurs autres détenus aux experts de l’ONU.

Le 23 décembre 2022, Alkarama a adressé un appel urgent au Rapporteur spécial sur la torture concernant la situation de Tawfiq Al Mansoori, Harith HAMID et Abdul Khaleq AMRAN, journalistes yéménites soumis à des actes de torture pendant leur détention dans la prison du camp central de sécurité de la capitale yéménite, Sanaa.

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