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Les mineurs d'âge Mohamed Kamal et Ahmed Othman ont été libérés le 16 décembre 2011, plusieurs semaines après que le Groupe de Travail des Nations Unies ait adopté l'Avis n° 57/2011, déclarant que leur détention était arbitraire et exigeant leur libération immédiate auprès des autorités égyptiennes. Il a également appelé le gouvernement égyptien à leur accorder réparation pour leur détention arbitraire et illégale.Les deux ressortissants égyptiens, M.

Abd al-Ilah Haidar Shaie, le journaliste yéménite incarcéré au centre de détention de Sécurité Politique, dans la capitale Sana depuis août 2010, voit son état de santé se dégrader rapidement, en raison de la grève de la faim illimitée qu'il a entreprise.

Omar Abdelmohsen Al-Qaid, étudiant saoudien de 24 ans, est détenu depuis le 28 novembre 2010 en-dehors de toute procédure légale. Son oncle et son frère sont également arbitrairement détenus depuis plusieurs années sans jamais avoir été présentés devant un juge. Alkarama a soumis le cas d'Omar aujourd'hui aux procédures spéciales de l'ONU.Omar Al-Qaid prenait son petit déjeuner au restaurant Al-Quds à Sakaka ce matin du 28 novembre 2010 lorsque l'établissement a été encerclé par des agents des services de renseignement généraux (Mabahith).

La détention d'Ahmed Mansour durant plus de 7 mois était arbitraire, a annoncé le Groupe de Travail des Nations Unies sur la Détention Arbitraire, à propos de cet éminent défenseur des droits de l'homme, originaire des Emirats et âgé de 42 ans. Il a également appelé les autorités émiraties à lui accorder réparation pour ce traitement injuste. Il semble effectivement que Mansour ait pu bénéficier d'une grâce inattendue, le 28 novembre, suite à la décision de l'ONU dans cette affaire.

MM. Nimr, Tony et Saifuddin, ont tous trois été arrêtés en juin 2011 après avoir participé à une manifestation organisée pour protester contre des décisions prises par le Conseil municipal.

M. Sayed Mohammed Abdullah Nimr, 45 ans, Islam Abdullah Ali Tony, 20 ans et M. Ahmed Maher Hosni Saifuddin, 31 ans ont été arrêtés à leurs domiciles respectifs le 21 juin 2011. Ils ont été accusés d'avoir organisé un rassemblement et d'avoir attaqué le président du Conseil municipal.

Le 31 Janvier dernier, Alkarama a reçu des informations de la famille de M. Mohamed Fahd Al Wajan Al Shamari, indiquant que le roi Abdallah d'Arabie Saoudite a approuvé la décision d'exécuter M. Al Shamari après que ce dernier ait été soumis à un procès inéquitable.

Le samedi 4 février 2012, Alkarama a été informée de la libération par les autorités marocaines de Mohamed Hasan al-Kattani, Omar al-Haddouchi et Mohammad Abdul Wahab al-Rafiki.

 

 

 

 

Mohamed al-Kattani a été arrêté le 13 février 2003  à la suite des attentats de Casablanca en mai 2003. Il a été condamné à 20 ans de prison sur la base d'accusations d'appartenance à un groupe djihadiste salafiste, malgré l'absence de preuves le reliant à ces attaques.

M. Khaled Al Khedairy a été arrêté le 4 Juillet 2005 et demeure en détention sans qu'il y ait eu de procédures légales jusqu'à ce jour. Il y a plus de six années et demie, le citoyen saoudien et père de cinq enfants a été arrêté par des agents de la police saoudienne enquête -le Mabahith dans le district de Al Salihiya à Riyad. Il n'a pas eu la possibilité d'informer sa famille. Celle-ci l'a cherché pendant trois jours dans les hôpitaux locaux ainsi que dans les postes de police, avant d'apprendre enfin que M. Al Khedairy avait été emmené à la prison de Alisha.

De nombreuses personnalités françaises et internationales ont signé une pétition adressée au Premier ministre français François Fillon pour lui demander de ne pas procéder à l'extradition du Dr Mourad Dhina et de le libérer immédiatement.

Directeur exécutif d'Alkarama et opposant politique au régime algérien, le Dr Dhina a été arrêté le 16 janvier dernier à Paris; il est détenu depuis plus de deux semaines à la Prison de la Santé à Paris dans le

"En 2011, La situation de la liberté d'expression s'est aggravée dans les Émirats, a déclaré aujourd'hui Alkarama dans une lettre au Rapporteur Spécial sur la liberté d'expression. La communication raconte en détail les violations des droits de l'homme dirigées contre Faisal Al Zaidi et Rachid Bin Abbad- qui avaient précédemment dénoncés la pratique de la corruption au sein de la Compagnie des aéroports d'Abu Dhabi (ADAC).