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Alkarama travaille sur violations les plus graves des droits de l'homme, à savoir les violations qui se rapportent au droit à la vie, à la dignité humaine, à l'intégrité physique et à la liberté. L'idée derrière ce choix est qu'Alkarama considère que c'est seulement lorsque les citoyens seront à l'abri de ces violations majeures qu'ils pourront librement et efficacement réclamer l'ensemble de leurs droits et garantir la primauté de l'État de droit dans leur pays.

MEMBRES FONDATEURS

Abderrahman Al Naimi

Professeur d'Histoire à l'Université du Qatar à Doha, Dr Al Nuaimi a participé à la création d'un certain nombre d'organisations humanitaires et des droits de l'homme, ainsi qu'à des instituts de recherche dans le monde arabe.

Rachid Mesli

En septembre 2014, Alkarama a soumis des informations sur le prochain Examen Périodique Universel (EPU) de la Libye en avril / mai 2015. Deux questions principales ont été abordées : la coopération de la Libye avec les mécanismes des droits de l'homme de l'ONU et le respect de ses obligations internationales en matière de droits de l'homme.

Contexte politique

Le 17 septembre 2014, Alkarama a adressé un appel urgent au Rapporteur spécial de l'ONU sur le droit à la santé pour demander aux autorités égyptiennes d'accorder à Ibrahim Hassan Mohamed Asuhaimi, un homme de 72 ans en détention arbitraire, l'attention médicale immédiate que son état nécessite.

Toute nouvelle intervention au Moyen-Orient devra inclure une stratégie visant à répondre aux souffrances des civils syriens, a déclaré aujourd'hui une coalition mondiale de 40 organisations humanitaires et de défense des droits de l'Homme de premier plan.

Le 15 septembre 2014, Al Wissam Humanitarian Assembly et Alkarama ont envoyé un appel urgent au Comité de l'ONU sur les disparitions forcées concernant l'enlèvement d'un ancien pilote de la Brigade de la Force aérienne, Riad Abdel Majeed Al Obeidi, , dans le quartier d'Al A'amiriya, le 1er juin 2014. Ne l'ayant pas revu depuis son enlèvement, sa famille craint qu'il soit torturé ou maltraité, surtout après qu'il ait réussi à les contacter mi-juin de son lieu de détention.

Dans son dernier rapport au Conseil des droits de l'homme, le Secrétaire général Ban Ki-moon a soulevé les cas de représailles contre les personnes qui ont coopéré avec l'ONU, allant de menaces et d'interdictions de voyage, à la détention arbitraire et la torture. Selon Ban Ki-moon, les représailles mentionnées dans son rapport ne sont que la «partie visible de l'iceberg ».

Lors de sa 11ème session tenue dans le courant du mois de juillet, le Comité des droits de l'homme de l'ONU a rendu sa décision dans l'affaire de Tahar Bourefis et son fils Bachir, arrêtés tous deux en 1996 par l'armée et la gendarmerie nationale algériennes et disparus depuis.

Le 14 juillet 2014, la police a arrêté 15 personnes au cours d'une violente dispersion d'une manifestation pacifique à Al Fayoum. Détenus au poste de police de Badar Al Fayoum depuis leur arrestation, ils disent aussi avoir été soumis à la torture et aux mauvais traitements.