Plusieurs experts des droits de l’homme de l’ONU ont rappelé aux autorités saoudiennes leurs obligations de « mener une enquête rapide et impartiale chaque fois qu’il existe des motifs raisonnables de croire que la torture a été commise, et d’exclure de la procédure judiciaire toute preuve obtenue par la torture et la coercition ».
Ils ont souligné que « la détention au secret prolongée peut faciliter la perpétration de tortures et d’autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, et peut en soi constituer une forme de tels traitements ».