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Alkarama exprime sa vive préoccupation et condamne avec la plus grande fermeté les sanctions injustifiées imposées par le gouvernement des États-Unis d’Amérique à l’encontre de Mme Francesca Albanese, Rapporteuse spéciale des Nations unies sur la situation des droi

Dans son Avis n°1/2025 rendu le 1er avril 2025, le Groupe de travail des Nations Unies sur la détention arbitraire (GTDA) a conclu que la détention du citoyen yéménite, Mohsen Saleh Nasser Al-Awlaqi, était arbitraire et reste illégale, en violation manifeste du droit international.

Le 30 mai 2025, le Groupe de travail des Nations Unies sur la détention arbitraire (GTDA) a rendu un Avis n°37/2025 concluant à l’arbitraire de la détention de Bassam Al Jalladi, ressortissant yéménite détenu en Arabie Saoudite depuis 2019. 

Le Groupe de travail des Nations Unies sur la détention arbitraire (GTDA) a rendu son Avis n°2/2025 relatif au juge Bechir Akremi, ancien procureur général et universitaire, détenu arbitrairement en Tunisie.

Les autorités des Émirats arabes unis poursuivent leur campagne de répression et d’intimidation à l’encontre des prisonniers d’opinion et des opposants politiques, en utilisant la justice et les lois antiterroristes comme instruments de leur lutte contre les droits humains.

Les autorités saoudiennes ont remis en liberté l’universitaire Khaled Alodah, frère du célèbre prédicateur et universitaire Dr. Salman bin Fahd Alodah, après huit années de détention arbitraire. Il avait été arrêté pour avoir publié des informations sur l’arrestation de son frère, lequel reste détenu arbitrairement dans des conditions inhumaines, et ce, malgré une décision du Groupe de travail des Nations Unies sur la détention arbitraire qualifiant l’emprisonnement des deux frères de violation flagrante du droit international.

À l’occasion du 26 juin, Journée internationale pour le soutien aux victimes de la torture – symbole de l’engagement mondial à mettre fin à la pratique de la torture et aux autres mauvais traitements – nous, les organisations signataires ci-dessous, exprimons notre profonde préoccupation face à l’impunité persistante entourant le crime de torture au Liban, ainsi qu’au manque d’application effective de la loi contre la torture adoptée en 2017. 

‏En ce jour marquant la Journée internationale des Nations Unies pour le soutien aux victimes de la torture (26 juin), les organisations de défense des droits humains soussignées réaffirment que le crime de torture continue d’être pratiqué de manière systématique dans plusieurs pays arabes, en violation flagrante de la dignité humaine et du droit international – en particulier la Convention des Nations Unies contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, que la majorité des gouvernements arabes ont pourtant ratifiée.

Alkarama a appris de sources saoudiennes en matière de droits humains que les autorités ont finalement libéré le militant et membre de l’Association saoudienne pour les droits civils et politiques (ACPRA), Abdulaziz Al-Shubaily, après près de huit années de détention. 

Il y a dix ans, l’Assemblée générale des Nations Unies a proclamé, par sa résolution A/RES/69/293 en date du 19 juin 2015, la Journée internationale pour l’élimination de la violence sexuelle en temps de conflit, célébrée chaque année le 19 juin.