Alkarama rappelle la possibilité de recourir aux juridictions universelles à l’encontre des responsables irakiens impliqués dans les exécutions arbitraires collectives, dont la fréquence a récemment augmenté.
Les autorités irakiennes ont récemment procédé à l'une des plus grandes vagues d'exécutions depuis 2003, en remettant en septembre les corps d'au moins 50 détenus exécutés par pendaison dans la prison centrale de Nasiriyah, au sud du pays.