Alkarama a saisi le Groupe de travail sur les disparitions forcées des Nations Unies du cas d'Anas Al Kayal, 32 ans, arrêté par des militaires en avril 2013 et dont la famille reste sans nouvelles à ce jour.
Arrestation et disparition forcée d'Anas
Le 8 avril 2013, Anas rentrait chez lui, à Alep où il travaillait en tant qu'ingénieur en électricité après avoir rendu visite à sa sœur à Gaziantep, en Turquie.