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Personnalité reconnue en Arabie Saoudite pour son indépendance d'esprit et ses positions publiques en faveur de réformes institutionnelles, le Dr Saïd ben Zaïr est détenu arbitrairement depuis le 6 juin 2007, date à laquelle il fut arrêté à Riyad, de retour de la Mecque.Il avait déjà fait par le passé l'objet de plusieurs arrestations et de longues périodes de détention - plus de 8 ans entre 1995 et 2003 et plus d'un an entre 2004 et 2005 - pour avoir exercé son droit à la liberté d'expression, notamment en accordant une interview à la chaîne Al-Jazira en 2004, où il s'était exprimé sur la

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M. Slimani a été arrêté le 7 janvier 2011 à Laghouat alors que la ville connaissait d'importantes manifestations. Lorsque les gendarmes ont découvert sur lui sa carte d'adhérent de la Ligue algérienne de défense des droits de l'homme (LADDH), il a été battu et placé en détention.
Le 16 avril 2010, les forces militaires américaines ont lancé un assaut contre le domicile familial de Mme Hasna Ali Yahya Husayn lors duquel l’époux a été éliminé au prétexte qu’il était recherché. Elle même a été arrêtée avec ses enfants et torturée. Depuis, elle est arbitrairement détenue.

Alkarama a adressé une communication le 25 mai 2011 au Groupe de travail sur la détention arbitraire lui demandant d'intervenir auprès des autorités irakiennes afin qu'elles prennent les mesures nécessaires pour faire libérer Mme Hasna Ali Yahya Husayn et lui accorder une réparation adéquate.

Le 23 mai dernier, Alkarama a adressé un appel urgent à la Haute commissaire des droits de l'homme, Mme Navanethem Pillay, lui demandant de saisir le Conseil de sécurité de l'ONU afin qu'il requiert l'ouverture d'une enquête par la Cour pénale internationale sur les meurtres de civils commis au cours des événements actuels en Syrie.

Depuis le 2 mai 2011, jour de leur arrestation, aucune nouvelle n'a filtré sur le sort de M. Mattar, 35 ans, et de M. Fairuz, 48 ans. Alkarama est particulièrement préoccupée par l'arrestation et la disparition de ces deux anciens membres du Parlement.

C'est à quelques pas de la place Tahrir où ont débuté les manifestations du 25 janvier 2011 qu'Abderahman Fares, 30 ans, et quatre de ses amis qui avaient comme lui activement participé à la révolution, ont été arrêtés par des militaires le 1er février 2011.
Extraits de force de leur véhicule, les cinq hommes sont immédiatement emmenés dans les locaux des Services de sécurité, ils seront victimes de graves tortures. Violemment battu et torturé à l'électricité pendant son interrogatoire, M. Fares sera notamment questionné sur l'organisation des manifestations et sur ses dirigeants.

Une violente répression s'abat sur les manifestants pacifiques au Yémen depuis le début du mouvement réclamant la démission du Président Saleh le 26 janvier 2011.

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Accusé sans preuves de l'assassinat du chanteur Lounès Matoub, Malik Medjnoune est détenu arbitrairement depuis 1999 et demeure sans procès à ce jour.

De nombreux corps présentant des traces de torture ont été découverts le 16 mai 2011 dans trois fosses communes à Daraa, où l'armée est entrée le mois dernier pour réprimer les manifestations pacifiques.

Pour la première fois depuis le début des événements le 15 mars 2011, la vague de répression touche Salamiya, ville à majorité alaouite de l’Ouest de la Syrie. Alkarama a ainsi reçu confirmation de 30 cas d’arrestation, soumis le 11 mai 2011 au Rapporteur spécial de l’ONU sur la promotion et la protection du droit à la liberté d’opinion et d’expression. Parmi les personnes arrêtées se trouve un homme âgé de 70 ans, Hassan Zahra, ancien prisonnier politique et président du parti interdit d’opposition socialiste.

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