Aller au contenu principal

Dans son dernier rapport publié le 5 février 2013, la Commission d'enquête de l'ONU sur la Syrie a constaté qu'aussi bien les forces gouvernementales syriennes et ses milices affiliées que les groupes armés de l'opposition sont responsables de crimes de guerre commis au cours des deux années de conflit qui se sont écoulées.

EGY Report February2013 Cover

Alkarama a la plaisir de vous inviter à la conférence de presse pour le lancement de son rapport qui dresse le bilan de la situation des droits de l'homme en Egypte depuis la levée de l'état d'urgence le 31 mai 2012.

Hier, les proches de Shawki Omar, un détenu jordanien de 52 ans en grève de la faim depuis le 4 février dernier, ont organisé des rassemblements devant les ambassades irakiennes à Londres et à Amman pour protester contre sa détention arbitraire depuis 2004 et les tortures qu'il a subis reécemment. Shawki Omar avait été arrêté avec sa femme enceinte en octobre 2004 peu après son arrivée en Irak. Sa fille qui a aujourd'hui 7 ans demande la libération de son père.

Beyrouth, Genève - Mohamad Hassan Tlass, ancien officier des Services de renseignement des forces aériennes syriennes, aurait fait défection en août 2011. Il a été arrêté par les services de sécurité libanais le 6 décembre 2012 et risque d'être expulsé de manière imminente vers son pays à la suite d'une décision du tribunal militaire de Beyrouth du 4 février 2013. S'il est renvoyé, il risque d'être exécuté pour désertion, et d'être torturé. Alkarama et le Centre libanais des droits humains (CLDH) ont soumis cette affaire en urgence au Rapporteur spécial sur la torture.

Nasreddine Rarrbo, militant de 25 ans membre du « Mouvement des Jeunes du 8 mai 1945 », a été arrêté le 5 février à Larbaa (Blida) par des agents des services de sécurité algériens et torturé pendant deux jours au commissariat de police avant d'être inculpé de « troubles à l'ordre public » et d' « outrage à corps constitués ».

Mise à jour – Aujourd'hui, les neuf activistes détenus à la prison centrale de Samael ont entamé une grève de la faim pour protester contre leur détention arbitraire.

1er février 2013 - Les autorités omanaises doivent libérer immédiatement neuf cyber-activistes actuellement détenus pour avoir exprimé leurs opinions à la prison centrale de Samael

yahia bounouarM. Yahia Bounouar, journaliste indépendant et président de l'Observatoire algérien des droits de l'homme (OADH), réseau de défenseurs des droits de l'homme algériens, fait l'objet depuis plusieurs semaines de persécution et d'intimidation par les agents du Département du renseignement et de la sécurité (DRS). Ces mesures visent clairement à l'empêcher d'effectuer son travail de documentation des violations des droits de l'homme.

A la suite des événements de « Nahr Al Bared » en 2007, plusieurs centaines de personnes suspectées d'appartenir ou d'avoir entretenu des liens avec le groupe islamiste de « Fatah Al Islam » ont été arrêtées. Les autorités judiciaires libanaises ont annoncé l'ouverture prochaine du procès par des auditions préliminaires qui doivent débuter demain, 8 février 2013.

Les autorités saoudiennes doivent libérer immédiatement Amer Al-Anzi et lui octroyer une compensation adéquate pour sa détention arbitraire.

Amer Al-Anzi, un Qatari de 34 ans, actuellement détenu à la prison de Dammam, capitale de la province de l'Est de l' Arabie Saoudite, a passé plus de 7 ans en prison sans jamais avoir été inculpé, ni jugé.

Au lendemain de l'invasion américaine en Irak de 2003, plusieurs dizaines de citoyens non irakiens d'origine arabe ont été arrêtés, détenus arbitrairement et torturés entre 2003 et 2009 par les autorités irakiennes et américaines pour appartenance à la « résistance armée » contre les forces d'occupation américaines. Condamnés à de lourdes peines ou à la peine de mort suite à des procès expéditifs, ce groupe de détenus non irakiens est connu sous le nom des « Prisonniers arabes ». Rami*, détenu depuis 2006 à la prison d'Al Soussa, est l'un d'entre eux.

S'abonner à