La militante marocaine Saida El Alami, actuellement détenue à la prison d’El Oukacha à Casablanca, a récemment été victime de mauvais traitements graves de la part du personnel pénitentiaire, dans un contexte révélant des actes de représailles liés à son recours aux mécanismes des Nations Unies.
Par arrêt rendu le 17 décembre, la Cour d’appel de Casablanca a confirmé la peine de trois ans d’emprisonnement prononcée en première instance à l’encontre de Mme El Alami.