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Huit étudiants, suspectés d'appartenir aux Frères musulmans, ont été arrêtés le 28 octobre 2009 par des agents des services de renseignement de la sûreté de l'Etat. Ils ont été détenus pendant trois jours au secret au poste de police de Zagaziq avant d'être transférés le 30 Octobre 2009 à la prison de Damanhour.
Abdullah Majed Sayah al-Nuaimy, qui a été initialement porté disparu par les autorités saoudiennes le 29 octobre 2008, est réapparu dans une prison saoudienne selon certaines sources.
Le Comité contre la torture doit examiner lors de sa 43e session, le 3 novembre 2009, le deuxième rapport périodique du Yémen. Alkarama a présenté dans ce cadre une contribution qui met en relief la situation préoccupante des droits humains dans ce pays.
Dans le cadre du suivi de quatre recommandations du Comité contre la torture, Alkarama a présenté à l'organe onusien une contribution relevant l'absence de mise en application de celles-ci.
Le rapporteur du Comité des droits de l'homme a adressé le 27 août 2009 une lettre au Représentant permanent algérien auprès des Nations-Unies, lui rappelant que dans le cadre du suivi des Observations finales du Comité, l'Etat algérien n'a pas fourni d'informations pour trois d'entre elles dans le délai d'un an comme demandé.
Durant les 3 derniers mois, le gouvernement égyptien a entrepris de nombreuses arrestations  collectives qui ont touché les membres les plus influents du mouvement des Frères musulmans.
Dans le cadre du suivi des recommandations du Comité des droits de l'homme suite à l'examen du rapport périodique, la Tunisie a fourni en mars 2009 des explications pour quatre d'entre elle.
Alkarama a appris que six membres présumés du "Groupe Khor Fakkan", détenus depuis le 1er octobre 2008, ont été libérés sous caution lors d'une audience qui s'est tenue le 19 octobre 2009. Les charges retenues contre eux  n'ont pas été maintenues.

Cette affaire avait soulevé un vif intérêt des médias dans le pays. Notre organisation avait saisi le Groupe de travail sur la détention arbitraire le 14 juillet 2009, craignant que ces ne subissent des tortures lors de leur détention arbitraire.

Le 9 décembre 2006, aux alentours de minuit, la maison familiale d'Abdulrahman al-Hossami fut l'objet d'un raid mené par 20 hommes armés, officiers de l'armée, de la police et des forces de la sécurité politique. Les agents arrivèrent, à bord de véhicules banalisés, en tenue civile et armés de fusils automatiques. Ils ont immédiatement cerné la maison, et ont entamé une embuscade armée.