Alkarama a été mandatée pour présenter une plainte au Comité des droits de l'homme concernant la disparition de Tahar et son fils aîné Bachir Bourefis arrêtés en 1996 dans la wilaya de Jijel et disparus depuis.
Leurs arrestations et disparitions se sont déroulées dans le contexte du conflit armé généré par le coup d'état de janvier 1992 et caractérisé par une pratique systématique et généralisée d'arrestations arbitraires suivies de disparitions forcées.