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Frédéric Koller/Le Temps - Le rapport Goldstone sur les crimes de guerre commis par Israël et le Hamas à Gaza en début d'année a été adopté vendredi par le Conseil des droits de l'homme réuni en session extraordinaire. La résolution, objet de nombreuses tractations de couloir, a finalement été adoptée par 25 voix pour, 6 contre, 11 abstentions, alors que cinq pays dont la France et la Grande-Bretagne boycottaient le scrutin, un fait inédit, au motif que leur demande de suspension de la séance n'avait pas été prise en compte.

Frédéric Koller/Le Temps - Le rapport Goldstone sur les crimes de guerre commis par Israël et le Hamas à Gaza en début d'année a été adopté vendredi par le Conseil des droits de l'homme réuni en session extraordinaire. La résolution, objet de nombreuses tractations de couloir, a finalement été adoptée par 25 voix pour, 6 contre, 11 abstentions, alors que cinq pays dont la France et la Grande-Bretagne boycottaient le scrutin, un fait inédit, au motif que leur demande de suspension de la séance n'avait pas été prise en compte.

Même le Hamas

Alkarama a soumis le cas de deux Libanais qui ont disparu en Arabie saoudite. Il s'agit de Mohamad Hamoud et Bilal Abu Haikal: le premier a disparu en 2006 à l'aéroport de Jeddha et le second en 2009 à l'aéroport de Riyadh.

En rentrant chez lui à Tripoli de son pélerinage à la Mecque (Omra) en Arabie Saoudite, Mohamed Bassam Ismail Hamoud, un homme d'affaires de 50 ans, a été arrêté par les services de renseignement saoudiens à l'aéroport de Jeddah le 22 octobre 2006.

Youssef Hamdan Abu Zahri, frère du porte-parole du Hamas Sami Abu Zahri, est décédé mardi 13 octobre 2009 à la prison de Bordj al-Arab suite à de graves blessures causées par des actes de torture qui lui ont été infligées par les services de renseignement de la sûreté de l'Etat au siège de leur quartier général à Alexandrie.

Youssef Zahri, ressortissant palestinien accusé d'être entré illégalement en Egypte à travers un passage souterrain, avait été arrêté en avril 2008 à Al-Arish près de la frontière entre l'Egypte et Gaza

Hisham Mahmoud Diab, 51 ans, de nationalités néerlandaise et égyptienne, a été arrêté par les services de sécurité de l'Etat à l'aube du 8 Mai 2001 à son domicile à Héliopolis, au Caire. Bien que Hisham Mahmoud Diab soit un civil, il a ensuite été jugé et condamné par un tribunal militaire à trois ans d'emprisonnement.
Abdelsalim Salim, 35 ans, et Omar Akbar, 33 ans, tous deux d'origine Ouyghour, ont été arrêtés avec leurs épouses en juin 2008 par les forces de sécurité de l'Etat à Dubaï. Cela fait maintenant près de seize mois qu'ils sont maintenus en cellule d'isolement . Ils sont actuellement détenus à la prison d'Al-Wathba, la prison centrale d'Abu Dhabi.

Au moment de leur arrestation, ils ont été menacés d'expulsion vers la Chine, s'ils ne signaient pas de faux aveux, pays où ils risquaient d'être exécutés.

M. Abdullah Zuhir a été arrêté à Djedda le 20 février 2006 par des agents des services de renseignement au prétexte, invoqué après trois années de détention, qu'il aurait eu des « contacts avec des membres de l'opposition » ; il n'avait jamais été informé des motifs de son arrestation ni d'une procédure légale contre lui.

Âgé de 45 ans, M. Abdullah Zeid Salem ZUHIR est propriétaire d'un local d'Internet à Djedda où il réside.

Le 19 Mai 2008, alors qu'il venait juste de quitter la maison de sa belle-mère après le déjeuner, Hisham al- Tabakh entendit des coups de feu à proximité ... Il se précipita à l'endroit où il pensait que les coups de feu avaient été tirés et vit deux policiers qui molestaient un vieil homme de 80 ans. M. al-Tabakh s'approcha des policiers pour tenter de les raisonner, mais ils se sont détournés du vieil homme pour s'en prendre à M. al-Tabakh.
Alkarama a reçu des nouvelles d'Egypte concernant l'arrestation de personnes appartenant à deux différents groupes dans les gouvernorats Al-Buheira et Munufeya.

12 membres des Frères musulmans arrêtés à Al-Buhira

Le 26 Septembre 2009, les 12 personnes suivantes ont été arrêtées par les forces de sécurité de l'Etat dans Al-Buhira:

Alors qu'il était en train d'étudier chez lui à Agadir, Abdelkarim Azzou a été arrêté le 21 Juin 2003 par quatre agents des services de sécurité en tenue civile. Ces derniers n'ont présenté aucun mandat d'arrêt et l'ont placé en garde à vue. Sa famille n'a été en mesure de rétablir le contact avec lui qu'un mois plus tard. Il a subi de graves tortures en détention et continue de faire l'objet de mauvais traitements à la prison d'Ait Melloul.

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